Paroles de la chanson Mon pays par Faudel
Auteurs: Frederic Lebovici
Compositeurs: Frédéric Chateau
Editeurs: Atletico Music
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Paroles de la chanson Mon pays par Faudel
Je n’connais pas ce soleil
Qui brûle les dunes sans fin
Je n’connais pas d’autre terre
Que celle qui m’a tendu la main
Et si un jour, je pars d’ici
Que je traverse le désert
Pour aller voir d’où vient ma vie
Dans quelles rues jouait mon père
Moi qui suis né près de Paris
Sous tout ce vent, toute cette pluie
Je n’oublierai jamais mon pays
Et si demain, comme aujourd’hui
Je dois faire le tour de la terre
Pour chanter au monde mes envies
Voyager des années entières
Qui brûle les dunes sans fin
Je n’connais pas d’autre terre
Que celle qui m’a tendu la main
Et si un jour, je pars d’ici
Que je traverse le désert
Pour aller voir d’où vient ma vie
Dans quelles rues jouait mon père
Moi qui suis né près de Paris
Sous tout ce vent, toute cette pluie
Je n’oublierai jamais mon pays
Et si demain, comme aujourd’hui
Je dois faire le tour de la terre
Pour chanter au monde mes envies
Voyager des années entières
Moi qui suis né tout près d’ici
Même si je quitte mes amis
Je n’oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d’écoles et d’étés
Trop d’amour pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d’amis pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Je n’connais pas ce parfum
De menthe et de sable brûlant
Mais seul’ment les embruns
Sous les rouleaux de l’océan
Et toi qui me trouves un peu mat
Même si je quitte mes amis
Je n’oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d’écoles et d’étés
Trop d’amour pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d’amis pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Je n’connais pas ce parfum
De menthe et de sable brûlant
Mais seul’ment les embruns
Sous les rouleaux de l’océan
Et toi qui me trouves un peu mat
Pour ces rues bordées de prairies
Un peu trop blanc, couleur d’Euphrate
Pour ces poèmes que j’ai appris
Tu es bien le seul que j’oublie
Telle l’étoile, fidèle à la nuit
Je n’oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d’écoles et d’étés
Trop d’amour pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d’amis pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Et comme toi j’attends la pluie
Pour lui dire toutes mes peines
Un peu trop blanc, couleur d’Euphrate
Pour ces poèmes que j’ai appris
Tu es bien le seul que j’oublie
Telle l’étoile, fidèle à la nuit
Je n’oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés
De cours d’écoles et d’étés
Trop d’amour pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d’amis pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Et comme toi j’attends la pluie
Pour lui dire toutes mes peines
Tout comme toi, je lui souris
Quand elle tombe sur la plaine
Trop de souvenirs gravés
De cours d’écoles et d’étés
Trop d’amour pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d’amis pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Quand elle tombe sur la plaine
Trop de souvenirs gravés
De cours d’écoles et d’étés
Trop d’amour pour oublier
Que c’est ici que je suis né
Trop de temps abandonné
Sur les bancs de ma cité
Trop d’amis pour oublier
Que c’est ici que je suis né
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