Paroles de la chanson 28ème Parallèle par Faycal
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Paroles de la chanson 28ème Parallèle par Faycal
Le critérium en roue libre, antépénultième du podium
Gratte la 28ème au radium, de l’uranium dans le calibre
C’est mon background, kicke sur un son d’illuminé
Vois un rap game mort-né, moi à geeker dans l’underground
Ça causera droit dans la cornée, une tranche de vie sans Instagram
Un one shot ruminé loin de la blanche en kilogrammes
De quoi se souviendra-t-on ? D’un couplet la tête dans l’sac
D’un Don Quichotte ou d’un raton, d’un triplé à Podensac
Gratte la 28ème au radium, de l’uranium dans le calibre
C’est mon background, kicke sur un son d’illuminé
Vois un rap game mort-né, moi à geeker dans l’underground
Ça causera droit dans la cornée, une tranche de vie sans Instagram
Un one shot ruminé loin de la blanche en kilogrammes
De quoi se souviendra-t-on ? D’un couplet la tête dans l’sac
D’un Don Quichotte ou d’un raton, d’un triplé à Podensac
Ici n'ai rien d’un outsider, la rime est millésimée
Vois cimes et sommets résumés, j’envoie de l’estime aux riders
C’est mon côté lunatique, refuse l’étoile comme Ali
Résiste au "6" au triptyque, comme on porte le voile à Bali
Diffuse sur la toile des joailleries mais trop tard je l’ai tissée
Ne suis qu’un bâtard métissé qui dévoile ses railleries
Entre les faux, pseudo-hardcore, vantards et rageux
Je reviens planter le décor, mon pointard dans les arrêts d’jeu
Crâne sé-ra sans sabot, vois mensonges chevaux de course
Vois cimes et sommets résumés, j’envoie de l’estime aux riders
C’est mon côté lunatique, refuse l’étoile comme Ali
Résiste au "6" au triptyque, comme on porte le voile à Bali
Diffuse sur la toile des joailleries mais trop tard je l’ai tissée
Ne suis qu’un bâtard métissé qui dévoile ses railleries
Entre les faux, pseudo-hardcore, vantards et rageux
Je reviens planter le décor, mon pointard dans les arrêts d’jeu
Crâne sé-ra sans sabot, vois mensonges chevaux de course
Nos songes se coter en bourse et les rats quitter le paquebot
"Si si la famille" prend un sens Corleonien
Moi j’aimerais retrouver mes billes et l’innocence de nos liens
Les terrains vers les city, les joies, l'apanage de nos rêves
Voir nos ganaches loin d’Azerty, lève ton verre à nos vies brèves
On perd tout en grandissant dans nos remparts d’lucidité
Et on gagne rien en maudissant à part en acidité
Bref, des questions sans réponse, des envies d’ailleurs
La Faucheuse s’empare des meilleurs, des destinations que l’temps ponce
Avant l’autopsie, décris trajectoire et douleur
"Si si la famille" prend un sens Corleonien
Moi j’aimerais retrouver mes billes et l’innocence de nos liens
Les terrains vers les city, les joies, l'apanage de nos rêves
Voir nos ganaches loin d’Azerty, lève ton verre à nos vies brèves
On perd tout en grandissant dans nos remparts d’lucidité
Et on gagne rien en maudissant à part en acidité
Bref, des questions sans réponse, des envies d’ailleurs
La Faucheuse s’empare des meilleurs, des destinations que l’temps ponce
Avant l’autopsie, décris trajectoire et douleur
Ma p’tite histoire et ses couleurs, j’écris comme tu parles au psy
Tout n'est que camp, ne vois l’espoir qu’au microscope
Je me moque de vos décans, c’est le trou noir dans l’horoscope
N’ai plus guère de respect pour ce siècle vingt-et-unième
Que cette époque me foute la paix, je suis en guerre contre moi-même
Compteur bloqué sur le sentier de la perdition
Escroqué, on a tous troqué du toc contre l’érudition
Le Styx pour encrier, la plume en fer forgé
L’enclume d’un Enfer gorgé, le phœnix revient sans crier
Je me souviens de tout, des traîtres dans l’effectif
Tout n'est que camp, ne vois l’espoir qu’au microscope
Je me moque de vos décans, c’est le trou noir dans l’horoscope
N’ai plus guère de respect pour ce siècle vingt-et-unième
Que cette époque me foute la paix, je suis en guerre contre moi-même
Compteur bloqué sur le sentier de la perdition
Escroqué, on a tous troqué du toc contre l’érudition
Le Styx pour encrier, la plume en fer forgé
L’enclume d’un Enfer gorgé, le phœnix revient sans crier
Je me souviens de tout, des traîtres dans l’effectif
Des prises de tête pour l’affectif, de Blaye, des miens, de leurs atouts
Un sky âgé, un gare-ci, trinque à celle qui n’a plus cru en nos projets
Mes feuilles noircies, moi, mes quelques parcelles écrues
Un comeback en grandes pompes, pire qu’un 25 à Istanbul
J’apprends que rien ne s’estompe entre "Ong Bak" et pack de Redbull
Que j’ai des perles dans ce bourbier, de l’or pur dans les ordures
Que la mort s’cache dans les drogues dures, bordel que j’ai poussé de biais
Mortel comme ma 137, vendeur d’illusion
De candeur à profusion, sans boîte, sans cocktail, sans Tranxène
Dix ans que j’entre en scène, des médisants, des faussaires
Un sky âgé, un gare-ci, trinque à celle qui n’a plus cru en nos projets
Mes feuilles noircies, moi, mes quelques parcelles écrues
Un comeback en grandes pompes, pire qu’un 25 à Istanbul
J’apprends que rien ne s’estompe entre "Ong Bak" et pack de Redbull
Que j’ai des perles dans ce bourbier, de l’or pur dans les ordures
Que la mort s’cache dans les drogues dures, bordel que j’ai poussé de biais
Mortel comme ma 137, vendeur d’illusion
De candeur à profusion, sans boîte, sans cocktail, sans Tranxène
Dix ans que j’entre en scène, des médisants, des faussaires
Et tant de vrais check en concert, plus H/H qu’un Helly Hansen
Miné mais gracié, garde le moral c’est vital
Déterminé, mental d’acier tel un gars d’Arcelor-Mittal
Lyriciste en freelance, aigle de Carthage
Plane en silence, artiste espiègle dans les parages
Suivi par des condors, ma vie : protéger mes colombes
Quand vos idéaux les plombent, quand tous les corbeaux croient qu’on dort
Tout bat de l’aile, j'pense à la fuite, ai-je trop tournoyé dans ma cage ?
Noyé dans ces marécages où j’y ai vu l’jour un 28
En parallèle...
Miné mais gracié, garde le moral c’est vital
Déterminé, mental d’acier tel un gars d’Arcelor-Mittal
Lyriciste en freelance, aigle de Carthage
Plane en silence, artiste espiègle dans les parages
Suivi par des condors, ma vie : protéger mes colombes
Quand vos idéaux les plombent, quand tous les corbeaux croient qu’on dort
Tout bat de l’aile, j'pense à la fuite, ai-je trop tournoyé dans ma cage ?
Noyé dans ces marécages où j’y ai vu l’jour un 28
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