Paroles de la chanson Le charme de nos chimères par Faycal
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Paroles de la chanson Le charme de nos chimères par Faycal
[Nasme]
J’y trouve du charme dans ces chimères, échauffe mon âme ???
Me nourris l’esprit, le beat vide, j’remets l’couvert
A l’intérieur ça bouillonne, ça trépigne sous l’couvercle
J’voudrais te faire connaitre ma [vie/ville] donc j’organise des scènes ouvertes
J’écris des vers sans rêver de leur prix vert
Sous la lueur d’un lampadaire, l’inspi’ vient la nuit en pleine air
Mes joies, mes peines, dans leur pénombre, leur plainte serait trop longue
Alors je rappe dans la plus belle des langues
Loin de leur tendance et de leur demande
J’y trouve du charme dans ces chimères, échauffe mon âme ???
Me nourris l’esprit, le beat vide, j’remets l’couvert
A l’intérieur ça bouillonne, ça trépigne sous l’couvercle
J’voudrais te faire connaitre ma [vie/ville] donc j’organise des scènes ouvertes
J’écris des vers sans rêver de leur prix vert
Sous la lueur d’un lampadaire, l’inspi’ vient la nuit en pleine air
Mes joies, mes peines, dans leur pénombre, leur plainte serait trop longue
Alors je rappe dans la plus belle des langues
Loin de leur tendance et de leur demande
Même si ça ramène du monde, quel qu’en soit l’nombre on peut leur faire de l’ombre
??? comme fer de lance, depuis la présence de cette zic
Dans mon existence, de persister, c’est ma préférence
J’fais acte de présence mais pas dans la danse
Dans ma tête, toujours loin de l’heure et des dilettantes
J’bosse soit dans l’urgence, soit dans l’attente
Le doigt sur la détente, j’rappe avec un texte sur la tempe
Comprendront ceux qui veulent entendre
En auront ceux qui veulent en prendre
Ils disaient qu’pour les ronds, t’as qu’à te vendre
J’ai arpenté des pentes, c’est pas qu’pour la fierté d’mes potes
??? comme fer de lance, depuis la présence de cette zic
Dans mon existence, de persister, c’est ma préférence
J’fais acte de présence mais pas dans la danse
Dans ma tête, toujours loin de l’heure et des dilettantes
J’bosse soit dans l’urgence, soit dans l’attente
Le doigt sur la détente, j’rappe avec un texte sur la tempe
Comprendront ceux qui veulent entendre
En auront ceux qui veulent en prendre
Ils disaient qu’pour les ronds, t’as qu’à te vendre
J’ai arpenté des pentes, c’est pas qu’pour la fierté d’mes potes
J’dois y laisser mon empreinte et y péter des portes
[Fayçal]
Je te cause intérieurement comme tant de peur sans nos berceuses
Le temps est une perceuse et le cœur chiale intérieurement
J’ai le mal de mes illusions jusque dans la moelle osseuse
Me pose au calme sur une causeuse, te cause de l’âme sans dérision
L’horizon arrose ma trentaine, sans potion de jouvence
Peu de notions sur la mouvance, j’enregistre en quarantaine
Quelques beautés dans mon sinistre, quand le souci fait grève
[Fayçal]
Je te cause intérieurement comme tant de peur sans nos berceuses
Le temps est une perceuse et le cœur chiale intérieurement
J’ai le mal de mes illusions jusque dans la moelle osseuse
Me pose au calme sur une causeuse, te cause de l’âme sans dérision
L’horizon arrose ma trentaine, sans potion de jouvence
Peu de notions sur la mouvance, j’enregistre en quarantaine
Quelques beautés dans mon sinistre, quand le souci fait grève
Ici n’ai jamais eu le rêve d’être aux côtés de vos ministres
Poursuivis sans trêve par des fous rires impérissables
Par la sève d’une vie brève, sur des fous rires intarissables
Au pas de course, on se prépare à changer notre idylle
Sous la grande ours on se sépare, on a rangé nos crocodiles
Nos délires d’incompris, de la cours à son deuil
Parcours les feuilles de mon recueil et les relire n’a pas de prix
Rien d’un nerveux, rêveur, morveux tout au pire
Galérien sans empire qui sans saveur passe aux aveux
Poursuivis sans trêve par des fous rires impérissables
Par la sève d’une vie brève, sur des fous rires intarissables
Au pas de course, on se prépare à changer notre idylle
Sous la grande ours on se sépare, on a rangé nos crocodiles
Nos délires d’incompris, de la cours à son deuil
Parcours les feuilles de mon recueil et les relire n’a pas de prix
Rien d’un nerveux, rêveur, morveux tout au pire
Galérien sans empire qui sans saveur passe aux aveux
Tous mes meilleurs vœux aux ex-camarades, ex-complices
Ces rimes : ma parade au calice, d’ailleurs les pourvois à qui l’veut
Pas de larmes amers quand vois le cheveu qui grisonne
Juste en moi cette voix qui résonne comme le charme de mes chimères
[C-Sen]
Arrête ton char, arrête ton charme, parle pas d’ton-car à part d’ton sbar
Mettre une recale aux chimères, très peu pour moi, ci-mer
J’ai pé-cho une caisse claire, on a fait des ceaux-mor
Maintenant je casse clair, ??? ma ville
Avec les potos d’ma sphère, on va rapper, on va casse-déd’
Ces rimes : ma parade au calice, d’ailleurs les pourvois à qui l’veut
Pas de larmes amers quand vois le cheveu qui grisonne
Juste en moi cette voix qui résonne comme le charme de mes chimères
[C-Sen]
Arrête ton char, arrête ton charme, parle pas d’ton-car à part d’ton sbar
Mettre une recale aux chimères, très peu pour moi, ci-mer
J’ai pé-cho une caisse claire, on a fait des ceaux-mor
Maintenant je casse clair, ??? ma ville
Avec les potos d’ma sphère, on va rapper, on va casse-déd’
J’suis rentré comme une cassette dans un walkman dans le Hip-Hop
District 1.8 : c’est ma souche, je rappe mon joint à la bouche
J’ai les défauts d’un bâtard, moins l’droit d’te faire la morale
Que d’te mettre une patate, qu’ce soit la belle endormie
Comme sur une rame sur l’A4 ou sur la 2 sous les arcades
En fond d’case ou en studio en loca'
Plus rien d’neuf que de l’occas’, de ma conscience je suis l’otage
Avec Nasme noircis des pages, pas bon qu’à remplir des ???
J’laisse une trace de mon passage, pas là pour m’passer la pommade
J’suis pas dans un salon d’massage
District 1.8 : c’est ma souche, je rappe mon joint à la bouche
J’ai les défauts d’un bâtard, moins l’droit d’te faire la morale
Que d’te mettre une patate, qu’ce soit la belle endormie
Comme sur une rame sur l’A4 ou sur la 2 sous les arcades
En fond d’case ou en studio en loca'
Plus rien d’neuf que de l’occas’, de ma conscience je suis l’otage
Avec Nasme noircis des pages, pas bon qu’à remplir des ???
J’laisse une trace de mon passage, pas là pour m’passer la pommade
J’suis pas dans un salon d’massage
Pas attendu la technologie pour pratiquer l’partage
J’suis (l’parpaing ?), j’suis partout, en vrai j’suis au marquage
J’sors de mon tunnel, j’sors de ma cage et sur les murs de ma vie
Mon nom en grand s’étale, j’trouve que la France elle est pale
Du Hip-Hop dans l’encéphale, celle-là c’est pour Fayçal
J’suis (l’parpaing ?), j’suis partout, en vrai j’suis au marquage
J’sors de mon tunnel, j’sors de ma cage et sur les murs de ma vie
Mon nom en grand s’étale, j’trouve que la France elle est pale
Du Hip-Hop dans l’encéphale, celle-là c’est pour Fayçal
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