Paroles de la chanson Vairons par Feather
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Paroles de la chanson Vairons par Feather
Je me rappelles tes yeux vairons
Me regardant comme si il y avait quelque chose d'intéressant
Comme si je n'étais pas une coquille vide dépourvue de sentiments
On s'était promis de s'aimer éternellement
Oui, je me rappelles tes yeux vairons
Sexe sans capotes, on aimait le goût du danger
On était pareil, pareil, les mêmes centres d'intérêts
Mais toi, tu ne m'aimais pas comme moi je t'aimais
Ma tête à prix, tes yeux vairons m'ont décapité
Je serais toujours là dans milles ans
Malheureux et bourré sur mon divan
Mon amour, emporté par le vent
J'suis peut être triste, t'es peut être terribles mais on reste des enfants
Je me rappelles tes yeux vairons
Me regardant comme si il y avait quelque chose d'intéressant
Comme si je n'étais pas une coquille vide dépourvue de sentiments
On s'était promis de s'aimer éternellement
Oui, je me rappelles tes yeux vairons
T'es la colombe qui annonce la haine
Qu'est-ce qu'on s'emmerde cette semaine
J'pense à toi, toute proche mais si lointaine
Pensées sombres, tu fumes ta Vogue comme une parisienne
Je serais toujours là dans milles ans
Malheureux et bourré sur mon divan
Mon amour, emporté par le vent
J'suis peut être triste, t'es peut être terribles mais on reste des enfants
Je me rappelles tes yeux vairons
Me regardant comme si il y avait quelque chose d'intéressant
Comme si je n'étais pas une coquille vide dépourvue de sentiments
On s'était promis de s'aimer éternellement
Oui, je me rappelles tes yeux vairons
Attendre l'hiver tout le printemps
Je serais toujours là dans milles ans
Malheureux et bourré sur mon divan
Mon amour, emporté par le vent
J'suis peut être triste, t'es peut être terribles mais on reste des enfants
Je me rappelles tes yeux vairons
Me regardant comme si il y avait quelque chose d'intéressant
Comme si je n'étais pas une coquille vide dépourvue de sentiments
On s'était promis de s'aimer éternellement
Oui, je me rappelles tes yeux vairons
Attendre l'hiver tout le printemps
Idées noires, t'as pas le temps
Je vomis, je t'aime pourtant
J'fume deux paquets sur un banc
Perdu dans l'espace-temps
Sur mon tel, messages attristants
Je trébuche dans les limbes, j'essaye de faire attention
Lever les yeux aux étoiles avant de me défoncer, la tradition
On déteste ce que nous adorions
J'ai coincé mes doigts dans la porte de ton coeur, tes yeux pour obsession
Je me rappelles tes yeux vairons
Me regardant comme si il y avait quelque chose d'intéressant
Comme si je n'étais pas une coquille vide dépourvue de sentiments
Je vomis, je t'aime pourtant
J'fume deux paquets sur un banc
Perdu dans l'espace-temps
Sur mon tel, messages attristants
Je trébuche dans les limbes, j'essaye de faire attention
Lever les yeux aux étoiles avant de me défoncer, la tradition
On déteste ce que nous adorions
J'ai coincé mes doigts dans la porte de ton coeur, tes yeux pour obsession
Je me rappelles tes yeux vairons
Me regardant comme si il y avait quelque chose d'intéressant
Comme si je n'étais pas une coquille vide dépourvue de sentiments
On s'était promis de s'aimer éternellement
Oui, je me rappelles tes yeux vairons
Oui, je me rappelles tes yeux vairons
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