Paroles de la chanson Bleu Sang par Felhur x Andro
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Paroles de la chanson Bleu Sang par Felhur x Andro
Il faisait froid chez moi
Le soleil était bas
Il ne restait de toi
Que
Ta lettre et tes bas
Je revenais du taff
J’avais parlé d’amour
De désirs et de manques
J’avais parlé de nous
La veille, je reçus une baffe en te voyant de retour
C’était plaisir dément les ventres qui se nouent et les corps qui se retrouvent
Y-avait aucun discours, la bouche mangeait le cou
Y-avait aucun détour, dans la nuit jusqu’au bout
Le soleil était bas
Il ne restait de toi
Que
Ta lettre et tes bas
Je revenais du taff
J’avais parlé d’amour
De désirs et de manques
J’avais parlé de nous
La veille, je reçus une baffe en te voyant de retour
C’était plaisir dément les ventres qui se nouent et les corps qui se retrouvent
Y-avait aucun discours, la bouche mangeait le cou
Y-avait aucun détour, dans la nuit jusqu’au bout
Je voyais pas les vautours, je voyais que tes yeux si doux
Je revenais du taff me mettre sous ton joug
Mais dis, t’es passée où ?
Jamais l’appart n’avait été aussi grand
Mais dis, t’es passée où ?
Malgré quatre fenêtres l’air est insuffisant
Tu m’as laissé une lettre
Aussi belle que laide
À qui demander de l’aide ?
Dans mon appart il n'y avait plus que tes mots,Ton odeur, ton absence
Y’avait un renard, un loup, un écho
Et la peur du silence
Ce n’était pas toi qui me quittais, c’était le temps,
Les heures, la patience
Quelques syllabes ont tué les promesses
Je revenais du taff me mettre sous ton joug
Mais dis, t’es passée où ?
Jamais l’appart n’avait été aussi grand
Mais dis, t’es passée où ?
Malgré quatre fenêtres l’air est insuffisant
Tu m’as laissé une lettre
Aussi belle que laide
À qui demander de l’aide ?
Dans mon appart il n'y avait plus que tes mots,Ton odeur, ton absence
Y’avait un renard, un loup, un écho
Et la peur du silence
Ce n’était pas toi qui me quittais, c’était le temps,
Les heures, la patience
Quelques syllabes ont tué les promesses
De bonheur et l’enfant
On s’aimait encore le 17 décembre
Je crois
Mais le 17 janvier tout redescend
Je crains
Les yeux gonflés par les sanglots,
Par les pétards, l’amour qu’on fait,
Dans un enclos, dans un cendar,
Les yeux gonflés par les sanglots
J’ai serré fort mes deux poings ensemble
La porte des chiottes pris une forme qui leur ressemble
Sûrement ai-je crié, mais j’entendais que le silence
Je voulais juste que s’arrête ce temps si lent
J’ignorais encore tout du pourquoi du comment
Les pansements déchirés, je pensais "je descends"
On s’aimait encore le 17 décembre
Je crois
Mais le 17 janvier tout redescend
Je crains
Les yeux gonflés par les sanglots,
Par les pétards, l’amour qu’on fait,
Dans un enclos, dans un cendar,
Les yeux gonflés par les sanglots
J’ai serré fort mes deux poings ensemble
La porte des chiottes pris une forme qui leur ressemble
Sûrement ai-je crié, mais j’entendais que le silence
Je voulais juste que s’arrête ce temps si lent
J’ignorais encore tout du pourquoi du comment
Les pansements déchirés, je pensais "je descends"
J’ai serré fort mes deux poings ensemble et baissé les yeux
Regardé mes deux mains en sang
Ça sentait la fin c’était le commencement
Ça sentait la fin c’était le commencement
Attends
Regardé mes deux mains en sang
Ça sentait la fin c’était le commencement
Ça sentait la fin c’était le commencement
Attends
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