Paroles de la chanson Mal Aux Yeux par Felhur x Andro
Chanson manquante pour "Felhur x Andro" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Mal Aux Yeux"
Proposer une correction des paroles de "Mal Aux Yeux"
Paroles de la chanson Mal Aux Yeux par Felhur x Andro
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux
D’avoir regardé de si près les cieux
Je me réveille mal aux yeux
D’avoir vu tant de spectacles dégueux
Je me réveille j’ai mal aux yeux
D’avoir regardé de si près les cieux
Je me réveille mal aux yeux
D’avoir vu tant de spectacles dégueux
Le videur m’a mis dehors je sais pas où aller
Je vais
Lire un auteur mort, marcher sur le canal ou parler
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux
D’avoir regardé de si près les cieux
Je me réveille mal aux yeux
D’avoir vu tant de spectacles dégueux
Je me réveille j’ai mal aux yeux
D’avoir regardé de si près les cieux
Je me réveille mal aux yeux
D’avoir vu tant de spectacles dégueux
Le videur m’a mis dehors je sais pas où aller
Je vais
Lire un auteur mort, marcher sur le canal ou parler
Tout seul
Mes problèmes dérisoires pour lui qu’a rien avalé
C’est vrai
Il me la demande mais je lui donne pas ma monnaie
Tout seul
Dans la rue j’ai cru qu’on m’appelait
J’ai pas répondu, le comas me plait
Je suis allé au coin d’après
Vers l’inconnu qui me happait
J’ai pas entendu voix ma tête
Mon reflet s'apprête
J’ai pas entendu voix ma tête
J’ai pas entendu voix ma tête
Sur le canal, deux vieux jouent aux échecs
Un peu comme nous tous en fait
J’ai redis à l’enfant en moi : « mon cher
Promis j’arrête les amphéts
Mes problèmes dérisoires pour lui qu’a rien avalé
C’est vrai
Il me la demande mais je lui donne pas ma monnaie
Tout seul
Dans la rue j’ai cru qu’on m’appelait
J’ai pas répondu, le comas me plait
Je suis allé au coin d’après
Vers l’inconnu qui me happait
J’ai pas entendu voix ma tête
Mon reflet s'apprête
J’ai pas entendu voix ma tête
J’ai pas entendu voix ma tête
Sur le canal, deux vieux jouent aux échecs
Un peu comme nous tous en fait
J’ai redis à l’enfant en moi : « mon cher
Promis j’arrête les amphéts
Promis jamais je n’arrête de ché-cher
Promis je garde mes frères
Même si l'intensité, tout le temps, c'est cher
Promis je porte mes fers, fort »
Sur le canal deux vieux jouent aux échecs
Pour jouer vraiment faut un peu aimer perdre
Je les regarde je me demande s’ils s’aiment
Je trouve ce que sous leurs rides je décèle
Comme après bon orgasme je me rappelle
Je pourrais mourir
La vie c’est du bonus
J’ai eu assez pour là-celle
Je reprends ma marche à peine quand
Je réalise que je me perds dans mon quartier
À mes pieds dansent les souvenirs
Quantités de mots, je sais plus comment je m’appelle
Et j'ai oublié ce dont les rue se souviennent
Promis je garde mes frères
Même si l'intensité, tout le temps, c'est cher
Promis je porte mes fers, fort »
Sur le canal deux vieux jouent aux échecs
Pour jouer vraiment faut un peu aimer perdre
Je les regarde je me demande s’ils s’aiment
Je trouve ce que sous leurs rides je décèle
Comme après bon orgasme je me rappelle
Je pourrais mourir
La vie c’est du bonus
J’ai eu assez pour là-celle
Je reprends ma marche à peine quand
Je réalise que je me perds dans mon quartier
À mes pieds dansent les souvenirs
Quantités de mots, je sais plus comment je m’appelle
Et j'ai oublié ce dont les rue se souviennent
Il paraît que la joie vient après la peine
C'est un vieux qui l'a dit en finissant son verre
Il faut que je parte, mais si tu peux rester, reste
Le soleil haut dans le ciel, je suis prêt
Je pourrais mourir c’est la fin et après
Je me réveille j’ai mal aux yeux et aux pecs
D’avoir tant poussé et tant regardé
Ya du monde dehors je me sens étranger
Surement comme eux tous en fait
La colère dis moi donc où la ranger
Dans la rue, des visages passagers
L’absurdité, l’angoisse et le danger
Les drogués jeunes, mais qui ont l’air âgé
Les bourgeois qu’ont bien baisé et mangé
Le regard d'une fille qui sera jamais assez
J'ai une soif qu'aucune fontaine pourra étancher
Une pub m'envoie son sale message acerbe
C'est un vieux qui l'a dit en finissant son verre
Il faut que je parte, mais si tu peux rester, reste
Le soleil haut dans le ciel, je suis prêt
Je pourrais mourir c’est la fin et après
Je me réveille j’ai mal aux yeux et aux pecs
D’avoir tant poussé et tant regardé
Ya du monde dehors je me sens étranger
Surement comme eux tous en fait
La colère dis moi donc où la ranger
Dans la rue, des visages passagers
L’absurdité, l’angoisse et le danger
Les drogués jeunes, mais qui ont l’air âgé
Les bourgeois qu’ont bien baisé et mangé
Le regard d'une fille qui sera jamais assez
J'ai une soif qu'aucune fontaine pourra étancher
Une pub m'envoie son sale message acerbe
J'ai accepté que je serais jamais vengé
La musique, en vrai, ça n'a rien changé
On nous reconnaît, mais moi je me reconnais pas
C'est en se noyant qu'on apprend à nager
Sûrement pas en regardant l'océan qui parle
Demain on se casse faire du son en Bretagne
Bosser « Ruptures » et le show de la Boule Noire
Mais on se vend au diable quelques semaines plus tard
Il y a du chemin pour plus être contradictoire
Je suis las, je vais vers chez moi
Si ça l’est encore
J’ai du te-shi collé sur les doigts
Pourtant je me souviens de mes rêves
Hier j’ai rêvé de Léda
Une femme forte qui sait regarder les drames
Une femme folle qui sait chauffer les draps
La musique, en vrai, ça n'a rien changé
On nous reconnaît, mais moi je me reconnais pas
C'est en se noyant qu'on apprend à nager
Sûrement pas en regardant l'océan qui parle
Demain on se casse faire du son en Bretagne
Bosser « Ruptures » et le show de la Boule Noire
Mais on se vend au diable quelques semaines plus tard
Il y a du chemin pour plus être contradictoire
Je suis las, je vais vers chez moi
Si ça l’est encore
J’ai du te-shi collé sur les doigts
Pourtant je me souviens de mes rêves
Hier j’ai rêvé de Léda
Une femme forte qui sait regarder les drames
Une femme folle qui sait chauffer les draps
Hier j’ai rêvé de combats
De poser des bombes chez les responsables
Mais je sais plus qui sont les responsables
Ni ce que je peux changer à part moi
Ni ce que je peux attendre à part toi
En t’attendant je vais balayer chez moi
Je marche longtemps jusqu’à l’appartement
J’arrive, les fenêtres sont ouvertes en grand et
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
De poser des bombes chez les responsables
Mais je sais plus qui sont les responsables
Ni ce que je peux changer à part moi
Ni ce que je peux attendre à part toi
En t’attendant je vais balayer chez moi
Je marche longtemps jusqu’à l’appartement
J’arrive, les fenêtres sont ouvertes en grand et
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Je me réveille j’ai mal aux yeux (eux)
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)