Paroles de la chanson Le Plancher Des Cieux par Felipecha
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Paroles de la chanson Le Plancher Des Cieux par Felipecha
Les abysses luisant d'un désespoir heureux
Entendent tout près l'écho de ces rivages lointains
Faits d'obélisques couchés sur le plancher des cieux
De l'abîme brillant d'une maléfique lueur
Empourprée par les flammes par lesquelles disparurent
Ce qui n'appartient pas et ce qui était leur
Et tout dire à l'écho, ne laissait rien entendre
Il avait beau chanter, il a rayé sa voix
Approchant du soleil, il n'avait plus le choix
En être réchauffé ou bien finir en cendres
Les profondeurs percées d'une folle altitude
Entendent tout près l'écho de ces rivages lointains
Faits d'obélisques couchés sur le plancher des cieux
De l'abîme brillant d'une maléfique lueur
Empourprée par les flammes par lesquelles disparurent
Ce qui n'appartient pas et ce qui était leur
Et tout dire à l'écho, ne laissait rien entendre
Il avait beau chanter, il a rayé sa voix
Approchant du soleil, il n'avait plus le choix
En être réchauffé ou bien finir en cendres
Les profondeurs percées d'une folle altitude
Enivrées par les foules qui n'étaient même pas là
Finirent enlacées par dame solitude
Flash de lumière obscure où naissent tes plus beaux rêves
De ces plus douces tortures, tu n'en as qu'une idée
Suçoter le pistil et avaler la sève
Et tout dire à l'écho, ne laissait rien entendre
Il avait beau chanter, il a rayé sa voix
Approchant du soleil, il n'avait plus le choix
En être réchauffé ou bien finir en cendres
Rejoignant les abysses qui n'avaient plus qu'un vœu
Ils le firent en silence, il ne faut déranger
Finirent enlacées par dame solitude
Flash de lumière obscure où naissent tes plus beaux rêves
De ces plus douces tortures, tu n'en as qu'une idée
Suçoter le pistil et avaler la sève
Et tout dire à l'écho, ne laissait rien entendre
Il avait beau chanter, il a rayé sa voix
Approchant du soleil, il n'avait plus le choix
En être réchauffé ou bien finir en cendres
Rejoignant les abysses qui n'avaient plus qu'un vœu
Ils le firent en silence, il ne faut déranger
Les obélisques ronflant sur le plancher des cieux
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