Paroles de la chanson Matin Du Café par Felipecha
Auteurs: Charlotte Savary,Philippe Chevallier Chevallier
Compositeurs: Charlotte Savary,Philippe Chevallier Chevallier
Editeurs: Wtpl Music
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Paroles de la chanson Matin Du Café par Felipecha
Matin Du Café
Cette nuit, c'est formidable
Cette nuit, si tu savais
Si tu savais le voyage
Que j'ai fait les yeux fermés
Je partais à la montagne
Avec la serveuse du café
T' sais, celle qui n'a jamais dû me voir
Cette nuit, comme elle m'aimait
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfonçaient
Quelle torture agréable
Comme j'aurais voulu saigner
{Refrain:}
Cette nuit, c'est formidable
Cette nuit, si tu savais
Si tu savais le voyage
Que j'ai fait les yeux fermés
Je partais à la montagne
Avec la serveuse du café
T' sais, celle qui n'a jamais dû me voir
Cette nuit, comme elle m'aimait
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfonçaient
Quelle torture agréable
Comme j'aurais voulu saigner
{Refrain:}
Comme
Un matin du café
Oui, comme
Un matin du café
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Si tu savais comme j'y croyais
Ses yeux brillaient comme des larmes
Et ses lèvres m'aspiraient
Toutes brûlantes et animales
Elles soupiraient, elle soupirait
Ses yeux brillaient comme des lames
Et la langue bien aiguisée
Qui serpente et cannibale
Comme j'aurais voulu saigner
Un matin du café
Oui, comme
Un matin du café
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Si tu savais comme j'y croyais
Ses yeux brillaient comme des larmes
Et ses lèvres m'aspiraient
Toutes brûlantes et animales
Elles soupiraient, elle soupirait
Ses yeux brillaient comme des lames
Et la langue bien aiguisée
Qui serpente et cannibale
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain, x2}
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Je vois mon nez dans mon café
Je vais l'emmener à la montagne
Comme la serveuse dont je te parlais
T'sais, celle qui n'a jamais dû me voir
Celle qui me verra jamais
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfonçaient
Quelle torture agréable
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain}
{ad lib:}
Cette nuit, c'est formidable
Ce matin, si tu savais
Si tu savais, c'est incroyable
Je vois mon nez dans mon café
Je vais l'emmener à la montagne
Comme la serveuse dont je te parlais
T'sais, celle qui n'a jamais dû me voir
Celle qui me verra jamais
Je l'embrassais, fou comme un diable
Et ses ongles s'enfonçaient
Quelle torture agréable
Comme j'aurais voulu saigner
{au Refrain}
{ad lib:}
Oui, comme
Un matin du café
Un matin du café
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