Paroles de la chanson Place A L'art par Florent Richard
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Paroles de la chanson Place A L'art par Florent Richard
Ces heures perdues à contempler les filles dans la rue
À respirer ce bon air enfumé des bistros du quartier, oh oh
C’est peine perdue, faut parfois s’oublier pour mieux tout regretter
Quand vient le moment de compter les années qui passent
Le jour s’efface, direction Montparnasse
Rencontres à pile ou face, panique défendue
Pas le droit aux « si j’avais su », je crois que je m’en serais toujours voulu
D’être mort sans t’avoir vue, d’être mort sans avoir pu…
À respirer ce bon air enfumé des bistros du quartier, oh oh
C’est peine perdue, faut parfois s’oublier pour mieux tout regretter
Quand vient le moment de compter les années qui passent
Le jour s’efface, direction Montparnasse
Rencontres à pile ou face, panique défendue
Pas le droit aux « si j’avais su », je crois que je m’en serais toujours voulu
D’être mort sans t’avoir vue, d’être mort sans avoir pu…
Je criais place à l’art, choisissons le défi du hasard
Trimballons Verlaine de bar en bar, rendez-vous nulle part, oh oh
Je criais place à l’art, tout pour nos révolutions de comptoir
Mon anarchisme du samedi soir, rendez-vous nulle part, oh oh
Ces jours perdus à s’embrasser des heures dans la rue
À s’embraser pour des malentendus sur les bancs du quartier, oh oh
C’est peine perdue, faut parfois s’emporter pour mieux tout pardonner
Quand vient le moment de compter les années qui passent
Trimballons Verlaine de bar en bar, rendez-vous nulle part, oh oh
Je criais place à l’art, tout pour nos révolutions de comptoir
Mon anarchisme du samedi soir, rendez-vous nulle part, oh oh
Ces jours perdus à s’embrasser des heures dans la rue
À s’embraser pour des malentendus sur les bancs du quartier, oh oh
C’est peine perdue, faut parfois s’emporter pour mieux tout pardonner
Quand vient le moment de compter les années qui passent
La pluie menace, panique à Montparnasse
Départ sur le quai d’en face, sourires défendus
Pas le droit aux « si jamais », je crois que je m’en serais toujours voulu
D’être mort sans t’avoir plu, d’être mort sans l’avoir su…
Je criais place à l’art, choisissons le défi du hasard
Trimballons Verlaine de bar en bar, rendez-vous nulle part, oh oh
Je criais place à l’art, tout pour nos révolutions de comptoir
Mon anarchisme du samedi soir, rendez-vous nulle part, oh oh
Ces heures perdues à contempler les filles dans la rue
Départ sur le quai d’en face, sourires défendus
Pas le droit aux « si jamais », je crois que je m’en serais toujours voulu
D’être mort sans t’avoir plu, d’être mort sans l’avoir su…
Je criais place à l’art, choisissons le défi du hasard
Trimballons Verlaine de bar en bar, rendez-vous nulle part, oh oh
Je criais place à l’art, tout pour nos révolutions de comptoir
Mon anarchisme du samedi soir, rendez-vous nulle part, oh oh
Ces heures perdues à contempler les filles dans la rue
À respirer ce bon air enfumé des bistros du quartier, oh oh
C’est peine perdue, faut parfois s’oublier pour mieux tout regretter
Quand vient le moment de compter les années qui passent
Quand vient le moment de compter les années qui passent…
Je criais place à l’art…
C’est peine perdue, faut parfois s’oublier pour mieux tout regretter
Quand vient le moment de compter les années qui passent
Quand vient le moment de compter les années qui passent…
Je criais place à l’art…
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