Paroles de la chanson L'histoire D'hollis Brown par Francis Cabrel
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Paroles de la chanson L'histoire D'hollis Brown par Francis Cabrel
Hollis Brown vivait dans un taudis loin de la ville
Hollis Brown vivait dans un taudis loin de la ville
Avec sa femme, cinq enfants, sous un toit de mauvaises tuiles
La vie est tellement dure, qu’il n’y a plus de mots pour le dire
La vie est tellement dure, qu’il n’y a plus de mots pour le dire
Tes gosses ont tellement faim qu’ils en ont perdu leur sourire
Les rats mangent ta farine, ils ont empoisonné le puits
Hollis Brown vivait dans un taudis loin de la ville
Avec sa femme, cinq enfants, sous un toit de mauvaises tuiles
La vie est tellement dure, qu’il n’y a plus de mots pour le dire
La vie est tellement dure, qu’il n’y a plus de mots pour le dire
Tes gosses ont tellement faim qu’ils en ont perdu leur sourire
Les rats mangent ta farine, ils ont empoisonné le puits
Les rats ont mangé ta farine et empoisonné le puits
Même le ciel veut dire, qu’il faudra pas compter sur lui
Tu demande au seigneur pourtant, envoie-moi du secours
Tu demande au seigneur pourtant, envoie-moi du secours
Mais personne n’entend, et personne n’accourt
Ça siffle entre les planches, il fait aussi froid que dehors
Ça siffle entre les planches, il fait aussi froid que dehors
Agrippés à tes manches, aucun enfant ne dort
Ta femme te maudit et la pluie perce la toiture
Même le ciel veut dire, qu’il faudra pas compter sur lui
Tu demande au seigneur pourtant, envoie-moi du secours
Tu demande au seigneur pourtant, envoie-moi du secours
Mais personne n’entend, et personne n’accourt
Ça siffle entre les planches, il fait aussi froid que dehors
Ça siffle entre les planches, il fait aussi froid que dehors
Agrippés à tes manches, aucun enfant ne dort
Ta femme te maudit et la pluie perce la toiture
Ta femme te maudit et la pluie perce la toiture
Tes yeux fixent le fusil accroché au mur
Dans la lande sauvage autour, t’entends hurler un chien
Dans la lande sauvage autour, t’entends hurler un chien
Tes yeux fixent le fusil que tu tiens dans les mains
Sept coups de feu ont claqué et puis ce fût le silence
Sept coups de feu ont claqué et puis ce fût le silence
Dans le journal du lendemain on annonce sept naissances
Tes yeux fixent le fusil accroché au mur
Dans la lande sauvage autour, t’entends hurler un chien
Dans la lande sauvage autour, t’entends hurler un chien
Tes yeux fixent le fusil que tu tiens dans les mains
Sept coups de feu ont claqué et puis ce fût le silence
Sept coups de feu ont claqué et puis ce fût le silence
Dans le journal du lendemain on annonce sept naissances
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