Paroles de la chanson La Complainte par Francoeur
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Paroles de la chanson La Complainte par Francoeur
Toi qui de tes yeux me découvre telle que je suis
Brisée en milles morceaux de rêves
En mille morceaux
Je suis la poussière des étoiles qui brille
À jamais sur ta peau, je suis
Le coton des nuages qui essuie tes larmes
Celles qui coulent, brûlantes le long de tes joues
Usées de m'avoir trop aimé
Je suis le jour, je suis la nuit
Je suis toujours, j'anéantis
Je suis l'oiseau qui s'envole enfin
À mille lieues d'ici
Je suis la route qu'on prend
Brisée en milles morceaux de rêves
En mille morceaux
Je suis la poussière des étoiles qui brille
À jamais sur ta peau, je suis
Le coton des nuages qui essuie tes larmes
Celles qui coulent, brûlantes le long de tes joues
Usées de m'avoir trop aimé
Je suis le jour, je suis la nuit
Je suis toujours, j'anéantis
Je suis l'oiseau qui s'envole enfin
À mille lieues d'ici
Je suis la route qu'on prend
Lorsqu'on est fatigué
Qu'on rêve du paradis
Je fais pas partie des vivants
Je fais pas partie des vivants
J'ai jamais su, moi
J'ai jamais su
Je fais pas partie des vivants
Je fais pas partie des vivants
J'ai jamais su
J'ai jamais su
Accrochée au miroir de la vie
Qui passe, qui fane, qui court sans nous attendre
Qui ne passe pas te prendre
Qui ne s'arrête pas
Que j'arrête, moi
Je suis la mer qui va, qui vient
Qu'on rêve du paradis
Je fais pas partie des vivants
Je fais pas partie des vivants
J'ai jamais su, moi
J'ai jamais su
Je fais pas partie des vivants
Je fais pas partie des vivants
J'ai jamais su
J'ai jamais su
Accrochée au miroir de la vie
Qui passe, qui fane, qui court sans nous attendre
Qui ne passe pas te prendre
Qui ne s'arrête pas
Que j'arrête, moi
Je suis la mer qui va, qui vient
Celle qui croisera ton chemin lorsque
Tu penseras à moi demain
Tu penseras à moi, d'en bas
Je, je suis et je ne suis plus la maladie
Je suis l'un, je suis l'autre, la maladie
Je suis moi, je suis en faute, je suis, et je ne suis plus
Je suis l'oiseau qui s'envole enfin
À mille lieues d'ici
Je suis la route qu'on prend
Lorsqu'on est fatigué
Qu'on rêve du paradis
Je fais pas partie des vivants
Je fais pas partie des vivants
J'ai jamais su
J'ai jamais su
Tu penseras à moi demain
Tu penseras à moi, d'en bas
Je, je suis et je ne suis plus la maladie
Je suis l'un, je suis l'autre, la maladie
Je suis moi, je suis en faute, je suis, et je ne suis plus
Je suis l'oiseau qui s'envole enfin
À mille lieues d'ici
Je suis la route qu'on prend
Lorsqu'on est fatigué
Qu'on rêve du paradis
Je fais pas partie des vivants
Je fais pas partie des vivants
J'ai jamais su
J'ai jamais su
Si je pouvais, si je savais
À tes pieds je m'allongerais pour
Terminer l'histoire
À tes pieds je m'allongerais pour
Terminer l'histoire
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