Paroles de la chanson À une passante par François Atlas
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Paroles de la chanson À une passante par François Atlas
La rue assourdissante autour de moi hurlait
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;
Agile et noble, avec sa jambe de statue
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue
Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?
Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;
Agile et noble, avec sa jambe de statue
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue
Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?
Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !
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