Paroles de la chanson Le balayeur d'Amérique par François Béranger
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Paroles de la chanson Le balayeur d'Amérique par François Béranger
Je suis un simple balayeur
Dans une petite ville d'Amérique
Je viens de voir le gouverneur
Qui sortait de chez le coiffeur
Avec son gros cigare
Salut, mon pote le gouverneur
Hier soir, j'ai surpris ta sœur
Derrière la gare des autocars
On en reparlera ce soir
Dans ta belle demeure
Il faut vous dire que depuis dix ans à la même heure
Je vais souper tous les lundis chez le gouverneur
Je suis un drôle de voyageur
Dans une petite ville d'Amérique
Je viens de voir le gouverneur
Qui sortait de chez le coiffeur
Avec son gros cigare
Salut, mon pote le gouverneur
Hier soir, j'ai surpris ta sœur
Derrière la gare des autocars
On en reparlera ce soir
Dans ta belle demeure
Il faut vous dire que depuis dix ans à la même heure
Je vais souper tous les lundis chez le gouverneur
Je suis un drôle de voyageur
J' connais toute la planète par cœur
J'ai vu Hong-Kong, San Francisco
Dublin, le Cap et Toronto
Et la Nouvelle-Zélande
Dans les cinés, à la télé
Dans les bouquins à six cents balles
Dans l'évasion à bon marché
De nos journaux spécialisés
Qui ont d' belles couleurs
Et parfois même, ça m'empoigne, c'est plus fort que tout
Je vais vraiment par moi-même jusqu'au Sacré-Cœur
J'ai été de Versailles à Bièvres
En passant par Chaville et Sèvres
À Meudon j'ai cru tout lâcher
Car mon fidèle perroquet
J'ai vu Hong-Kong, San Francisco
Dublin, le Cap et Toronto
Et la Nouvelle-Zélande
Dans les cinés, à la télé
Dans les bouquins à six cents balles
Dans l'évasion à bon marché
De nos journaux spécialisés
Qui ont d' belles couleurs
Et parfois même, ça m'empoigne, c'est plus fort que tout
Je vais vraiment par moi-même jusqu'au Sacré-Cœur
J'ai été de Versailles à Bièvres
En passant par Chaville et Sèvres
À Meudon j'ai cru tout lâcher
Car mon fidèle perroquet
Était incommodé
Mon verdâtre psittacidé
Qui passe sa vie sur mon épaule
Avait bouffé toutes mes valeurs
Ma carte de train, mon porte-monnaie
Et mon plan de banlieue
Enfin, le comble, dans l' métro vers minuit moins vingt
J'ai perdu mon sac avec tous les bouquins de Kerouac
Pour en revenir au gouverneur
De cet état d' mon Amérique
Dont je connais très bien la sœur
Et la géographie physique
Et les courbes de niveau
Je vais lui emprunter du fric
Pour organiser un week-end
Mon verdâtre psittacidé
Qui passe sa vie sur mon épaule
Avait bouffé toutes mes valeurs
Ma carte de train, mon porte-monnaie
Et mon plan de banlieue
Enfin, le comble, dans l' métro vers minuit moins vingt
J'ai perdu mon sac avec tous les bouquins de Kerouac
Pour en revenir au gouverneur
De cet état d' mon Amérique
Dont je connais très bien la sœur
Et la géographie physique
Et les courbes de niveau
Je vais lui emprunter du fric
Pour organiser un week-end
Dans la forêt de Fontainebleau
Avec mes copains de boulot
Et leurs petites amies
(bis)
A nous la grande aventure du cœur sans limite
Laissez passer les échappés des murs bétonnés
Avec mes copains de boulot
Et leurs petites amies
(bis)
A nous la grande aventure du cœur sans limite
Laissez passer les échappés des murs bétonnés
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