Paroles de la chanson Le Monument Aux Oiseaux par François Béranger
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Paroles de la chanson Le Monument Aux Oiseaux par François Béranger
Voilà le Soleil
On ne l'attendait plus, sui-là !
Qui fait fumer le vieux goudron mouillé
A moins que ce soit les phares d'une balayeuse
Qui racle dans la nuit toutes les saloperies
Ça y est, je l'ai enfin trouvée
Mais je ne sais pas où elle est
Je marche dans la forêt des rues
Je sonne aux portes, on croit qu' j'ai bu
Si jamais vous l'apercevez
Dites-lui que je l'attends où elle sait
Elle ne pourra pas se tromper
Ça fait mille ans qu'on est à se chercher
Sous le monument aux oiseaux
Suspendu entre deux eaux
On ne l'attendait plus, sui-là !
Qui fait fumer le vieux goudron mouillé
A moins que ce soit les phares d'une balayeuse
Qui racle dans la nuit toutes les saloperies
Ça y est, je l'ai enfin trouvée
Mais je ne sais pas où elle est
Je marche dans la forêt des rues
Je sonne aux portes, on croit qu' j'ai bu
Si jamais vous l'apercevez
Dites-lui que je l'attends où elle sait
Elle ne pourra pas se tromper
Ça fait mille ans qu'on est à se chercher
Sous le monument aux oiseaux
Suspendu entre deux eaux
Dans le ciel
Voilà le bonheur
On ne l'attendait plus, sui-là !
Qui me transforme en gros ballon de joie
A moins qu' ce soit un air que m' joue mon pote
Le pote qui prend mes nerfs pour des cordes à violon
Ça y est, j' l'ai enfin trouvée
Mais je ne sais pas où elle est
J'ai arpenté tous les quartiers
Sauf l'échangeur et l' Grand Marché
Où es-tu, amour ? Que fais-tu ?
Par quel inconnu es-tu retenue ?
Ta mémoire s'est-elle envolée
Que tu ne te souviennes vraiment plus
Du monument aux oiseaux
Voilà le bonheur
On ne l'attendait plus, sui-là !
Qui me transforme en gros ballon de joie
A moins qu' ce soit un air que m' joue mon pote
Le pote qui prend mes nerfs pour des cordes à violon
Ça y est, j' l'ai enfin trouvée
Mais je ne sais pas où elle est
J'ai arpenté tous les quartiers
Sauf l'échangeur et l' Grand Marché
Où es-tu, amour ? Que fais-tu ?
Par quel inconnu es-tu retenue ?
Ta mémoire s'est-elle envolée
Que tu ne te souviennes vraiment plus
Du monument aux oiseaux
Suspendu entre deux eaux
Dans le ciel ?
Voilà le printemps
On ne l'attendait plus, sui-là !
Qui fait vibrer la ville qui dormait
A moins que ce soit
Tous les gaz délétères
Qui se propagent en pourrissant la Terre
Ça y est, je l'ai enfin trouvée
Mais je ne sais pas où elle est
Le mieux c'est de ne plus marcher
Par crainte de m'en éloigner
Je m'assieds dans le terrain vague
Là où la lune fait pousser des forêts
Peut-être en y croyant encore
Vais-je m'envoler très loin de mon corps
Dans le ciel ?
Voilà le printemps
On ne l'attendait plus, sui-là !
Qui fait vibrer la ville qui dormait
A moins que ce soit
Tous les gaz délétères
Qui se propagent en pourrissant la Terre
Ça y est, je l'ai enfin trouvée
Mais je ne sais pas où elle est
Le mieux c'est de ne plus marcher
Par crainte de m'en éloigner
Je m'assieds dans le terrain vague
Là où la lune fait pousser des forêts
Peut-être en y croyant encore
Vais-je m'envoler très loin de mon corps
Jusqu'au monument aux oiseaux
Suspendu entre deux eaux
Dans le ciel
Suspendu entre deux eaux
Dans le ciel
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