Paroles de la chanson Le Paradis par François Juno
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Paroles de la chanson Le Paradis par François Juno
En face de l'école il y avait aussi,
L'école des filles côté interdit,
Fenêtres en papier pour bien nous voiler,
Le Paradis, le Paradis.
En face de l'école il y avait aussi,
La cloche de fer, cinq heures et demi,
Quand je te voyais sortir,
Tu étais mon Paradis, mon Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
L'école des filles côté interdit,
Fenêtres en papier pour bien nous voiler,
Le Paradis, le Paradis.
En face de l'école il y avait aussi,
La cloche de fer, cinq heures et demi,
Quand je te voyais sortir,
Tu étais mon Paradis, mon Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
En face de l'école tous les mercredis,
Pas d'école non plus rendez-vous midi,
Les matchs de palets pour nous devenaient,
Des paradis, des Paradis.
Toi tu m'attendais près de la mairie,
On s'en allait loin de la jalousie,
On faisait le tour des amours toujours,
Des Paradis, des Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On achetait des bonbons à l'anis.
En face de l'école tous les mercredis,
Pas d'école non plus rendez-vous midi,
Les matchs de palets pour nous devenaient,
Des paradis, des Paradis.
Toi tu m'attendais près de la mairie,
On s'en allait loin de la jalousie,
On faisait le tour des amours toujours,
Des Paradis, des Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Se frôlant les doigts, plaisir défendu,
Et je découvrais derrière tes yeux gris,
Le Paradis, le Paradis.
On se retrouvait au bout de la rue,
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
Ne pas s'embrasser, ne pas être vu,
On achetait des bonbons à l'anis.
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