Paroles de la chanson Comme aujourd'hui par François Morel
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Paroles de la chanson Comme aujourd'hui par François Morel
C'était un jour comme aujourd'hui, un jour de pluie
Sauf qu'on était bien à l'abri, dans un grand lit
C'était un air que tu jouais sur le piano
Un vieux machin mal accordé qui sonnait faux
C'était un triste appartement près de la gare
Les trains nous réveillaient souvent, même en retard
Alors tu demandais tout bas : "T'es avec moi" ?
Aussitôt j'enroulais mes bras autour de toi
C'était un jour comme aujourd'hui, un jour de pluie
Sauf qu'on était bien à l'abri dans un grand lit
Sauf qu'on était bien à l'abri, dans un grand lit
C'était un air que tu jouais sur le piano
Un vieux machin mal accordé qui sonnait faux
C'était un triste appartement près de la gare
Les trains nous réveillaient souvent, même en retard
Alors tu demandais tout bas : "T'es avec moi" ?
Aussitôt j'enroulais mes bras autour de toi
C'était un jour comme aujourd'hui, un jour de pluie
Sauf qu'on était bien à l'abri dans un grand lit
C'était un air triste à pleurer, désespéré
Ça nous faisait bien rigoler de le chanter
Quand tu t'installais au piano, moi à tue-tête
Je m'imaginais illico, grande vedette
Devant le papier peint fleuri, des hortensias
Je voyais le public assis de l'Olympia
Aujourd'hui c'est la même chambre, le même lit
Mais je n'y connais plus de tendre après-midi
En fumant une cigarette, je vois la vie
A travers la fenêtre ouverte de mon réduit
Il y a toujours des trains qui passent
Qui me réveillent quand je rêvasse
C'était un jour comme aujourd'hui, un jour de pluie
Sauf qu'on était bien à l'abri, dans un grand lit
Ça nous faisait bien rigoler de le chanter
Quand tu t'installais au piano, moi à tue-tête
Je m'imaginais illico, grande vedette
Devant le papier peint fleuri, des hortensias
Je voyais le public assis de l'Olympia
Aujourd'hui c'est la même chambre, le même lit
Mais je n'y connais plus de tendre après-midi
En fumant une cigarette, je vois la vie
A travers la fenêtre ouverte de mon réduit
Il y a toujours des trains qui passent
Qui me réveillent quand je rêvasse
C'était un jour comme aujourd'hui, un jour de pluie
Sauf qu'on était bien à l'abri, dans un grand lit
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