Paroles de la chanson Les Jours Ou Je Me Fais De La Peine par Frédéric Zeitoun
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Paroles de la chanson Les Jours Ou Je Me Fais De La Peine par Frédéric Zeitoun
Quand je m’entends glousser aux blagues un peu vulgaires
D’un crétin patenté qui me tape sur les nerfs
Quand par pure lâcheté je n’ose pas lui dire
Que son âme de goret ne me f’ra jamais rire
Quand je la joue dragueur les paupières mi-closes
Entre conjonctivite et vraie myxomatose
Quand je retranche dix ans de mon état civil
Pour faire un peu plus « djeuns », pour faire un peu plus style
Si tu savais miroir combien ces matins-là
J’aimerais te briser en mille et un éclats
Lorsqu’un instant lucide je reviens à moi-même
Il y a des jours comme ça où je me fais d’la peine
D’un crétin patenté qui me tape sur les nerfs
Quand par pure lâcheté je n’ose pas lui dire
Que son âme de goret ne me f’ra jamais rire
Quand je la joue dragueur les paupières mi-closes
Entre conjonctivite et vraie myxomatose
Quand je retranche dix ans de mon état civil
Pour faire un peu plus « djeuns », pour faire un peu plus style
Si tu savais miroir combien ces matins-là
J’aimerais te briser en mille et un éclats
Lorsqu’un instant lucide je reviens à moi-même
Il y a des jours comme ça où je me fais d’la peine
Quand je me vois fayot servile et bon élève
Dans une soirée d’idiots racontant des fadaises
Quand je crie « c’est super », sans avoir écouté
Comme pour dans un sursaut me tenir éveillé
Quand un vieux lumbago vient me broyer l’échine
À force d’être passé sous des fourches caudines
Car si le ridicule c’est vrai ne nous tue pas
Il peut parfois laisser dans un piteux état
Si tu savais miroir, ô toi qui réfléchis
Combien je me sens con dans ces moments précis
Quand c’est le vent du vide qui coule dans mes veines
Il y a des jours comme ça où je me fais d’la peine
Dans une soirée d’idiots racontant des fadaises
Quand je crie « c’est super », sans avoir écouté
Comme pour dans un sursaut me tenir éveillé
Quand un vieux lumbago vient me broyer l’échine
À force d’être passé sous des fourches caudines
Car si le ridicule c’est vrai ne nous tue pas
Il peut parfois laisser dans un piteux état
Si tu savais miroir, ô toi qui réfléchis
Combien je me sens con dans ces moments précis
Quand c’est le vent du vide qui coule dans mes veines
Il y a des jours comme ça où je me fais d’la peine
C’est une chanson dédiée à tous nos manquements
D’audace, de courage ou de discernement
À toutes nos faiblesses que l’on voudrait cachées
Et qui ressortent un soir en gros points sur le nez
Quelques mots amusés sur nos pires ratages
Un refrain spectateur de nos propres naufrages
Quand des sables mouvants viennent nous enfoncer
Et que même la honte ne peut pas nous sauver
La la la…
Quand un instant lucide je reviens à moi-même
Il y a des jours comme ça où je me fais d’la peine.
D’audace, de courage ou de discernement
À toutes nos faiblesses que l’on voudrait cachées
Et qui ressortent un soir en gros points sur le nez
Quelques mots amusés sur nos pires ratages
Un refrain spectateur de nos propres naufrages
Quand des sables mouvants viennent nous enfoncer
Et que même la honte ne peut pas nous sauver
La la la…
Quand un instant lucide je reviens à moi-même
Il y a des jours comme ça où je me fais d’la peine.
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