Paroles de la chanson Avec ou sans amour par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Avec ou sans amour par Georges Chelon
Comment dire avec élégance
Que l’homme doit son existence
A quelques aller-retour
Commis sans doute avec ivresse
Avec bonheur ou maladresse
Avec plus ou moins de tendresse
Avec ou sans amour
Que l’on soit vert rouge ou bleu pâle
Enfant de l’ombre ou des étoiles
Il faut bien que l’on naisse un jour
Il faut bien que le monde avance
De délivrance en délivrance
Chacun portant sa différence
Comme un fardeau plus ou moins lourd
Hum…
Que l’homme doit son existence
A quelques aller-retour
Commis sans doute avec ivresse
Avec bonheur ou maladresse
Avec plus ou moins de tendresse
Avec ou sans amour
Que l’on soit vert rouge ou bleu pâle
Enfant de l’ombre ou des étoiles
Il faut bien que l’on naisse un jour
Il faut bien que le monde avance
De délivrance en délivrance
Chacun portant sa différence
Comme un fardeau plus ou moins lourd
Hum…
Comme un fardeau plus ou moins lourd
Si ça peut vous donner confiance
Sans entrer dans la confidence
Vous éviter un long discours
Dites-leur un soir qu’un y avec un x
A fait la bête
A deux dos et que pour le reste
La vie a suivi son cours
Si ça peut vous donner des ailes
Pour aller parler à la belle
Pour enfin lui faire la cour
Dites-vous que sous l’apparence
Peut se cacher la souffrance
Que peu d’entre nous ont la chance
D’être des enfants de l’amour
Hum…
Si ça peut vous donner confiance
Sans entrer dans la confidence
Vous éviter un long discours
Dites-leur un soir qu’un y avec un x
A fait la bête
A deux dos et que pour le reste
La vie a suivi son cours
Si ça peut vous donner des ailes
Pour aller parler à la belle
Pour enfin lui faire la cour
Dites-vous que sous l’apparence
Peut se cacher la souffrance
Que peu d’entre nous ont la chance
D’être des enfants de l’amour
Hum…
D’être des enfants de l’amour
A ceux qui luttent avec courage
Contre de puissants personnages
Qui voudraient les voir à genoux
Heureux celui dont le père
A fait parler le tonnerre
Le vent la foudre et les éclairs
Pour le mettre au-dessus de tout
Si vous vous êtes par mégarde
Egaré que sans prendre garde
Vous ne soyez plus dans le coup
Rappelez-vous que la naissance
N’est qu’une partie de la danse
Et que de toute évidence
La musique dépend de vous
Hum…
A ceux qui luttent avec courage
Contre de puissants personnages
Qui voudraient les voir à genoux
Heureux celui dont le père
A fait parler le tonnerre
Le vent la foudre et les éclairs
Pour le mettre au-dessus de tout
Si vous vous êtes par mégarde
Egaré que sans prendre garde
Vous ne soyez plus dans le coup
Rappelez-vous que la naissance
N’est qu’une partie de la danse
Et que de toute évidence
La musique dépend de vous
Hum…
La musique dépend de vous
On peut penser tout son aise
Que le baisemain est fadaise
Qu’il n’est plus à l’ordre du jour
Que la graine que l’on dépose
Dans un chou ou dans une rose
N’a rien à voir avec la chose
Qui court qui court qui court toujours
Hum…
Pourtant qui court qui court toujours
On peut penser tout son aise
Que le baisemain est fadaise
Qu’il n’est plus à l’ordre du jour
Que la graine que l’on dépose
Dans un chou ou dans une rose
N’a rien à voir avec la chose
Qui court qui court qui court toujours
Hum…
Pourtant qui court qui court toujours
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