Paroles de la chanson Ca Va par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Ca Va par Georges Chelon
Ça va, ouais, ça va fort
Voyez je marche encore
Sur le fil de ma vie
Je suis toujours hardi
J'avance, je recule
Je m'autovéhicule
Et de la tête aux pieds
Je suis toujours entier.
Ça va, ouais, ça va fort
Voyez je chante encore
Je bouge encore les doigts
Et la guitare ma foi
Cache des arrondis
Preuves que jusqu'ici
Dans mon petit jardin
Je ne manque de rien
Voyez je marche encore
Sur le fil de ma vie
Je suis toujours hardi
J'avance, je recule
Je m'autovéhicule
Et de la tête aux pieds
Je suis toujours entier.
Ça va, ouais, ça va fort
Voyez je chante encore
Je bouge encore les doigts
Et la guitare ma foi
Cache des arrondis
Preuves que jusqu'ici
Dans mon petit jardin
Je ne manque de rien
La nuit je dors, le matin j'me réveille
Qu'il neige, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il y ait du soleil
Dans la journée j'respire puisque c'est notre sort
D'aspirer, d'expirer puis d'aspirer encore.
Bref je vis comme tout le monde
Je pleure, je ris, je gronde
Je mange, je bois, je dors
Je caresse, je mords
Certains jours j'abandonne
Je me désillusionne
Et d'autres où j'ai la foi
Où je recrois en moi.
Si je vous raconte tout ça, c'est pour vous rassurer
A mon sujet, je crois que vous vous inquiétez
Cette attention me touche en plein cœur, je l'avoue
Qu'il neige, qu'il pleuve, qu'il vente ou qu'il y ait du soleil
Dans la journée j'respire puisque c'est notre sort
D'aspirer, d'expirer puis d'aspirer encore.
Bref je vis comme tout le monde
Je pleure, je ris, je gronde
Je mange, je bois, je dors
Je caresse, je mords
Certains jours j'abandonne
Je me désillusionne
Et d'autres où j'ai la foi
Où je recrois en moi.
Si je vous raconte tout ça, c'est pour vous rassurer
A mon sujet, je crois que vous vous inquiétez
Cette attention me touche en plein cœur, je l'avoue
Mais n'parlons plus de moi, parlons plutôt de vous.
Dans les années soixante
Encore adolescente
Et déjà étudiante
Vous veniez m'écouter
Vous vouliez me connaître
Quand un beau soir de fête
Sur une de mes chansons
Il vous a embrassée
Et oui, le grand amour
Celui qui prend de court
Qui vous fait oublier
Tous ceux que vous aimiez
Et les enfants qui naissent
Qui grandissent et qui laissent
Comme un gouffre sans fond
Dès qu'ils vous ont quittée
Dans les années soixante
Encore adolescente
Et déjà étudiante
Vous veniez m'écouter
Vous vouliez me connaître
Quand un beau soir de fête
Sur une de mes chansons
Il vous a embrassée
Et oui, le grand amour
Celui qui prend de court
Qui vous fait oublier
Tous ceux que vous aimiez
Et les enfants qui naissent
Qui grandissent et qui laissent
Comme un gouffre sans fond
Dès qu'ils vous ont quittée
Et c'est pourquoi vous êtes là ce soir
Assise dans le noir comme par le passé
Afin de retrouver un peu de votre histoire
Les rêves et les espoirs qui vous ont fait chanter.
Le temps d'une heure, le temps d'une heure de temps
Être là comme avant, oublier les années
Le temps d'une heure, le temps d'un tour de chant
Être là et contents de ne plus se quitter.
Assise dans le noir comme par le passé
Afin de retrouver un peu de votre histoire
Les rêves et les espoirs qui vous ont fait chanter.
Le temps d'une heure, le temps d'une heure de temps
Être là comme avant, oublier les années
Le temps d'une heure, le temps d'un tour de chant
Être là et contents de ne plus se quitter.
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