Paroles de la chanson Il faut il faudra il faudrait par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Il faut il faudra il faudrait par Georges Chelon
Il faut, il faudra, il faudrait
Il faut, il faudra, il faudrait
Qu’un jour ou l’autre je me décide
A faire le tri à faire le vide
Dans la maison de la cave au grenier
Dans le garage la buanderie
Dans l’atelier sous l’appentis
Il faut, il faudra, il faudrait
Il faut, il faudra, il faudrait
Réorganiser mon vestiaire
J’ai entassé des piles entières
De pantalons de vestes démodées
De chemises que je ne mets plus
De pull-overs qui sont perdus
Il faut, il faudra, il faudrait
Les jeter les vendre ou les donner
Il faut, il faudra, il faudrait
Qu’un jour ou l’autre je me décide
A faire le tri à faire le vide
Dans la maison de la cave au grenier
Dans le garage la buanderie
Dans l’atelier sous l’appentis
Il faut, il faudra, il faudrait
Il faut, il faudra, il faudrait
Réorganiser mon vestiaire
J’ai entassé des piles entières
De pantalons de vestes démodées
De chemises que je ne mets plus
De pull-overs qui sont perdus
Il faut, il faudra, il faudrait
Les jeter les vendre ou les donner
Là où je vais Je n’peux rien emporter
Les jeter les vendre ou les donner
Ce sera ça de fait Pour ceux qui vont rester
Il faut, il faudra, il faudrait
Désengorger les étagères
Des vieux bouquins pleins de poussière
Des bibelots et des disques rayés
Des revues d’un temps révolu
Des photos de gens inconnus
Il faut, il faudra, il faudrait
Il faut, il faudra, il faudrait
Faire un détour par la campagne
Dans notre maison de cocagne
Où l’on a déjà mis tout ce qui nous gênait
Le vieux four le vieux frigidaire
Et le bahut de la grand-mère
Il faut, il faudra, il faudrait
Les jeter les vendre ou les donner
Ce sera ça de fait Pour ceux qui vont rester
Il faut, il faudra, il faudrait
Désengorger les étagères
Des vieux bouquins pleins de poussière
Des bibelots et des disques rayés
Des revues d’un temps révolu
Des photos de gens inconnus
Il faut, il faudra, il faudrait
Il faut, il faudra, il faudrait
Faire un détour par la campagne
Dans notre maison de cocagne
Où l’on a déjà mis tout ce qui nous gênait
Le vieux four le vieux frigidaire
Et le bahut de la grand-mère
Il faut, il faudra, il faudrait
Les jeter les brûler les donner
Les chiffonniers N’en ont rien à cirer
Les jeter les brûler les donner
Ce sera ça de fait Pour ceux qui vont rester
Il faut, il faudra, il faudrait
Mais j’ai du mal je vous l’accorde
L’objet en moi fait résonner
D’étranges cordes
D’aucuns diront c’est trop de sensibilité
Il s’attache à ses souvenirs
Comme s’il n’voulait pas partir
Pourtant il faut, il faudra, il faudrait
A grands ou à petits pas
Y’a pas de j’y vais j’y vais pas
Il faut, il faudrait, il faudra
Les chiffonniers N’en ont rien à cirer
Les jeter les brûler les donner
Ce sera ça de fait Pour ceux qui vont rester
Il faut, il faudra, il faudrait
Mais j’ai du mal je vous l’accorde
L’objet en moi fait résonner
D’étranges cordes
D’aucuns diront c’est trop de sensibilité
Il s’attache à ses souvenirs
Comme s’il n’voulait pas partir
Pourtant il faut, il faudra, il faudrait
A grands ou à petits pas
Y’a pas de j’y vais j’y vais pas
Il faut, il faudrait, il faudra
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