Paroles de la chanson Il faut que je m'arrête par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Il faut que je m'arrête par Georges Chelon
Il faut que je m’arrête
J’ai des trous dans la tête
Et puis deux heures debout
Ça me fait mal aux g’noux
Il faut que je m’arrête
Faut reposer la bête
Quand je vois les copains
Qui passent à la télé
Le crâne dégarni
Et le cou décharné
Je me dis qu’eux aussi
Ils devraient s’arrêter
De tous les dinosaures
Qui circulent encore
J’ai des trous dans la tête
Et puis deux heures debout
Ça me fait mal aux g’noux
Il faut que je m’arrête
Faut reposer la bête
Quand je vois les copains
Qui passent à la télé
Le crâne dégarni
Et le cou décharné
Je me dis qu’eux aussi
Ils devraient s’arrêter
De tous les dinosaures
Qui circulent encore
Je suis faut l’avouer
L’un des mieux conservé
Mais il est vrai aussi
Que j’ai très peu servi
Même le centenaire
Peut nous chanter sa mère
Le long des golfes clairs
On s’en fout
Et tra tra tralala
Et tra tra tralalère
Et tra tra laïtou
Quand je dis je m’arrête
C’est bête
Pour la plupart des gens
C’est fait depuis longtemps
L’un des mieux conservé
Mais il est vrai aussi
Que j’ai très peu servi
Même le centenaire
Peut nous chanter sa mère
Le long des golfes clairs
On s’en fout
Et tra tra tralala
Et tra tra tralalère
Et tra tra laïtou
Quand je dis je m’arrête
C’est bête
Pour la plupart des gens
C’est fait depuis longtemps
Y’en a même qui à tort
Croient que j’suis déjà mort
Et quant aux initiés
Les purs les vrais
Qui m’donn’raient chemise
Si j’étais dans la mouise
J’peux plus les étonner
J’leur ai tout raconté
Bientôt la soixantaine
Pour la x et unième
J’vais vous parler d’mon chat
D’mon chien etc
Du train d’mes amours
Et vous m’aimerez toujours
Quand je s’rai centenaire
Croient que j’suis déjà mort
Et quant aux initiés
Les purs les vrais
Qui m’donn’raient chemise
Si j’étais dans la mouise
J’peux plus les étonner
J’leur ai tout raconté
Bientôt la soixantaine
Pour la x et unième
J’vais vous parler d’mon chat
D’mon chien etc
Du train d’mes amours
Et vous m’aimerez toujours
Quand je s’rai centenaire
Chanterai encore mon père
Qui s’est tiré naguère
Au mois d’août
Et papa palala
Et papa palalère
Et papa laïtou
Quelque part j’espérais
Que le poids des années
Compens’rait la folie
Qui m’a toujours manqué
Mais j’suis sage et poli
Com’j’l’ai toujours été
Enfant j’rêvais d’Espaces
Et de Peurs et d’Audaces
J’ai trouvé une petite place
Qui s’est tiré naguère
Au mois d’août
Et papa palala
Et papa palalère
Et papa laïtou
Quelque part j’espérais
Que le poids des années
Compens’rait la folie
Qui m’a toujours manqué
Mais j’suis sage et poli
Com’j’l’ai toujours été
Enfant j’rêvais d’Espaces
Et de Peurs et d’Audaces
J’ai trouvé une petite place
Près du feu
Bon allez y s’fait tard
J’vais ranger ma guitare
Quand j’vous disais qu’on s’fait vieux
Et pépé pépéla
Et pépé pépélère
Et pépé y peut peu
Bon allez y s’fait tard
J’vais ranger ma guitare
Quand j’vous disais qu’on s’fait vieux
Et pépé pépéla
Et pépé pépélère
Et pépé y peut peu
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