Paroles de la chanson Je marche dans la ville par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Je marche dans la ville par Georges Chelon
Je marche dans la ville
Je marche dans tes pas
Ton souvenir fragile fragile fragile
Ne s’efface pas
Je traverse la ville
Mais je ne suis pas là
Je croise des gens civils civils civils
Qui me parlent de toi
Les lumières de la ville
Ont perdu leur éclat
Mon pas est moins agile agile agile
Qu’il était autrefois
On marchait dans la ville
D’un même pas
C’était notre île notre île notre île
Je marche dans tes pas
Ton souvenir fragile fragile fragile
Ne s’efface pas
Je traverse la ville
Mais je ne suis pas là
Je croise des gens civils civils civils
Qui me parlent de toi
Les lumières de la ville
Ont perdu leur éclat
Mon pas est moins agile agile agile
Qu’il était autrefois
On marchait dans la ville
D’un même pas
C’était notre île notre île notre île
C’était notre chez soi
Le petit pont utile
Qu’on empruntait parfois
Cet endroit puéril
Tu l’aimais bien je crois
Petit pont inutile
Résonne sous mes pas
Tous ces gestes futiles
Ces matins beaux et froids
Je marche dans la ville
Je butte sur tes pas
Que je suis malhabile malhabile malhabile
Que je suis maladroit
Etranger dans la ville
Etranger malgré moi
Depuis ce mois d’avril d’avril
Le petit pont utile
Qu’on empruntait parfois
Cet endroit puéril
Tu l’aimais bien je crois
Petit pont inutile
Résonne sous mes pas
Tous ces gestes futiles
Ces matins beaux et froids
Je marche dans la ville
Je butte sur tes pas
Que je suis malhabile malhabile malhabile
Que je suis maladroit
Etranger dans la ville
Etranger malgré moi
Depuis ce mois d’avril d’avril
Qui m’a privé de toi
Un petit air Brésil
Que tu chantais tout bas
Un clignement de cils de cils de cils
Connivence avec moi
C’était la vie tranquille
Que cette vie là
Bonheur docile docile docile
Qui glisse entre les doigts
Le petit pont utile
Qu’on empruntait parfois
Cet endroit puéril
Tu l’aimais bien je crois
Petit pont inutile
Résonne sous mes pas
Tous ces gestes furent-ils
Un petit air Brésil
Que tu chantais tout bas
Un clignement de cils de cils de cils
Connivence avec moi
C’était la vie tranquille
Que cette vie là
Bonheur docile docile docile
Qui glisse entre les doigts
Le petit pont utile
Qu’on empruntait parfois
Cet endroit puéril
Tu l’aimais bien je crois
Petit pont inutile
Résonne sous mes pas
Tous ces gestes furent-ils
Si importants pour toi
Je marche dans la ville
Je revis dans tes pas
Même si c’est difficile difficile difficile
Je chante encore pour toi
Mais est-ce bien utile
Toute cette vie là
Et ce temps qui défile qui défile qui défile
Qui m’éloigne de toi
Je marche dans la ville
Je revis dans tes pas
Même si c’est difficile difficile difficile
Je chante encore pour toi
Mais est-ce bien utile
Toute cette vie là
Et ce temps qui défile qui défile qui défile
Qui m’éloigne de toi
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