Paroles de la chanson l'impasse par Georges Chelon
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Paroles de la chanson l'impasse par Georges Chelon
Un peu de ta mère
Un peu de ton père
Tu es ce qu’ils ont fait de toi
Une pièce unique
De la chaine magique
Tu es ce qui fut et sera
Y a plus de morts que de vivants
Depuis qu’la terre existe
Ce n’est pas une vue d’artiste
Ça s’écrit même en noir sur blanc
Ça s’écrit sur les murs de marbre
Des monuments que l’on regarde
Sur les modestes croix de bois
Que le vent jette à bas
Un peu de ton père
Tu es ce qu’ils ont fait de toi
Une pièce unique
De la chaine magique
Tu es ce qui fut et sera
Y a plus de morts que de vivants
Depuis qu’la terre existe
Ce n’est pas une vue d’artiste
Ça s’écrit même en noir sur blanc
Ça s’écrit sur les murs de marbre
Des monuments que l’on regarde
Sur les modestes croix de bois
Que le vent jette à bas
Ça s’écrit dans les cœurs qui saignent
Dans les souvenirs qui s’égrainent
Ils font partie de nous-mêmes
Ils sont en toi
Ils sont en moi
C’est de Lucie la millénaire
En passant par la centenaire
Jusqu’à l’enfant qui vient de voir le jour
La même vie qui suit son cours
Un peu de leur mère
Un peu de leur père
Ils étaient comme toi
Des pièces uniques
De la chaine magique
Et cetera et cetera
Il y a ceux qui vivront toujours
Dans les souvenirs qui s’égrainent
Ils font partie de nous-mêmes
Ils sont en toi
Ils sont en moi
C’est de Lucie la millénaire
En passant par la centenaire
Jusqu’à l’enfant qui vient de voir le jour
La même vie qui suit son cours
Un peu de leur mère
Un peu de leur père
Ils étaient comme toi
Des pièces uniques
De la chaine magique
Et cetera et cetera
Il y a ceux qui vivront toujours
Dans le cœur des hommes
Ils sont avec nous chaque jour
Au point que cela nous étonne
Que là au hasard d’une rue
Ils ne nous croisent ne nous saluent
Dans ce temps comme suspendu
Leurs pas encore résonnent
Et ceux qui malheureusement
Ont entaché l’histoire
En écrivant avec du sang
Leur page de gloire
Qu’on les mette au ban des nations
Dans un quelconque Panthéon
Leurs noms qu’on le veuille ou non
Restent dans la Mémoire
Un peu de la mère
Ils sont avec nous chaque jour
Au point que cela nous étonne
Que là au hasard d’une rue
Ils ne nous croisent ne nous saluent
Dans ce temps comme suspendu
Leurs pas encore résonnent
Et ceux qui malheureusement
Ont entaché l’histoire
En écrivant avec du sang
Leur page de gloire
Qu’on les mette au ban des nations
Dans un quelconque Panthéon
Leurs noms qu’on le veuille ou non
Restent dans la Mémoire
Un peu de la mère
Et un peu du père
La Vie se débrouille avec ça
La Pièce est unique
La Chaine est magique
Qui sait si elle s’arrêtera
J’aimerais quand je ne serai plus
Laisser mon nom à une impasse
C’est plus sympa qu’une avenue
Que dans cet humble Mont Parnasse
Les enfants puissent y jouer
Les amoureux s’y embrasser
Le passant se dire « qui c’est ? »
S’il passe
La Vie se débrouille avec ça
La Pièce est unique
La Chaine est magique
Qui sait si elle s’arrêtera
J’aimerais quand je ne serai plus
Laisser mon nom à une impasse
C’est plus sympa qu’une avenue
Que dans cet humble Mont Parnasse
Les enfants puissent y jouer
Les amoureux s’y embrasser
Le passant se dire « qui c’est ? »
S’il passe
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