Paroles de la chanson Les maisons basses de nos vacances par Georges Chelon
Auteurs: Frank Thomas
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Paroles de la chanson Les maisons basses de nos vacances par Georges Chelon
Les maisons basses de nos vacances
Elles étaient sur l’océan
L’Atlantique de préférence
Volets murs blancs
Une cuisine un jardin trois chambres
La plus grande pour les parents
De fin juin début septembre
Autant de vélos que d’enfants
Dans l’entrée des filets à crevettes
Les espadrilles de l’an dernier
Sur le phono une opérette
Les voix sortaient d’un disque usé
Les maisons basses de nos vacances
Elles étaient sur l’océan
L’Atlantique de préférence
Volets murs blancs
Une cuisine un jardin trois chambres
La plus grande pour les parents
De fin juin début septembre
Autant de vélos que d’enfants
Dans l’entrée des filets à crevettes
Les espadrilles de l’an dernier
Sur le phono une opérette
Les voix sortaient d’un disque usé
Les maisons basses de nos vacances
Elles étaient sur l’océan
L’Atlantique en l’occurrence
Volets murs blancs
Les toits mouillés de nos vacances
Un quart de rayon de soleil
Tout était neuf un ciel immense
Pour les abeilles
Les mèches des lampes à pétrole
Piégeaient les papillons de nuit
Quand mon père prenait la parole
C’était : on se tait au lit
Les plus belles fleurs de la terre
Embaumaient notre île de Ré
Et toutes les roses trémières
Plus vite que nous grandissaient
L’Atlantique en l’occurrence
Volets murs blancs
Les toits mouillés de nos vacances
Un quart de rayon de soleil
Tout était neuf un ciel immense
Pour les abeilles
Les mèches des lampes à pétrole
Piégeaient les papillons de nuit
Quand mon père prenait la parole
C’était : on se tait au lit
Les plus belles fleurs de la terre
Embaumaient notre île de Ré
Et toutes les roses trémières
Plus vite que nous grandissaient
Les maisons basses de nos vacances
Elles étaient sur l’océan
L’Atlantique en l’occurrence
Volets murs blancs
Les maisons basses de notre enfance
Fallait qu’il y ait un grand malheur
Pour qu’on les vende dans la souffrance
A de nouveaux riches tapageurs
Ils changeaient tout dans les demeures
Mettaient des meubles à crédit
Du tape-à-l’œil pour donner l’heure
Un gros coucou de Westphalie
Les maisons basses de nos vacances
Valent aujourd’hui un pesant d’or
Je pleure toujours en souvenance
Mes quinze ans comme seul trésor
Les maisons basses de nos vacances
Elles étaient sur l’océan
L’Atlantique de préférence
Volets murs blancs
Une cuisine un jardin trois chambres
La plus grande pour les parents
De fin juin début septembre
Autant de vélos que d’enfants
Mes quinze ans comme seul trésor
Les maisons basses de nos vacances
Elles étaient sur l’océan
L’Atlantique de préférence
Volets murs blancs
Une cuisine un jardin trois chambres
La plus grande pour les parents
De fin juin début septembre
Autant de vélos que d’enfants
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