Paroles de la chanson Monsieur III par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Monsieur III par Georges Chelon
Monsieur
Vous n’aviez pas je crois pu répondre à ma lettre
Datée de février 2002 peut-être
Etiez-vous débordé par les affaires d’Etat
Ou vous l’aviez perdue enfin quoiqu’il en soit
Monsieur
C’était un cri du cœur un cri de colère
J’avais devant les yeux l’image meurtrière
J’en voulais au soldat je vous en veux encore
J’avais trouvé ces mots pour parler de sa mort
Enfant
Tombé au champ de pierres un matin de juillet
Vous n’aviez pas je crois pu répondre à ma lettre
Datée de février 2002 peut-être
Etiez-vous débordé par les affaires d’Etat
Ou vous l’aviez perdue enfin quoiqu’il en soit
Monsieur
C’était un cri du cœur un cri de colère
J’avais devant les yeux l’image meurtrière
J’en voulais au soldat je vous en veux encore
J’avais trouvé ces mots pour parler de sa mort
Enfant
Tombé au champ de pierres un matin de juillet
Ton sang
Rougit encore les mains de ceux qui t’ont tué
Monsieur
Je m’étonnais déjà de cette étrange guerre
Que vous étiez les seuls pratiquement à faire
Et vous étiez chez eux pour ainsi dire chez vous
Et les chars d’un côté de l’autre les cailloux
Monsieur
Et je vous faisais part de ma grande tristesse
Ces attentats ces morts toute cette détresse
De ce mur qui allait couper Jérusalem
Pour qui le monde ou presque a les yeux de Chimène
Enfant
Rougit encore les mains de ceux qui t’ont tué
Monsieur
Je m’étonnais déjà de cette étrange guerre
Que vous étiez les seuls pratiquement à faire
Et vous étiez chez eux pour ainsi dire chez vous
Et les chars d’un côté de l’autre les cailloux
Monsieur
Et je vous faisais part de ma grande tristesse
Ces attentats ces morts toute cette détresse
De ce mur qui allait couper Jérusalem
Pour qui le monde ou presque a les yeux de Chimène
Enfant
Tombé au champ de haine un matin de juillet
Ton sang
Est rouge comme celui qui depuis a coulé
Monsieur
Vous l’aviez deviné je ne vous aimais pas
J’étais comme un gamin un de ceux de là-bas
Vivant dans un pays pour vous imaginaire
Auquel l’Histoire un jour trouvera des frontières
Monsieur
Et le temps a passé et vous n’êtes plus là
Vous n’avez pas osé qui demain osera
Au mépris des enjeux des haines des passions
Qui demain osera recouvrer la Raison
Enfant
Ton sang
Est rouge comme celui qui depuis a coulé
Monsieur
Vous l’aviez deviné je ne vous aimais pas
J’étais comme un gamin un de ceux de là-bas
Vivant dans un pays pour vous imaginaire
Auquel l’Histoire un jour trouvera des frontières
Monsieur
Et le temps a passé et vous n’êtes plus là
Vous n’avez pas osé qui demain osera
Au mépris des enjeux des haines des passions
Qui demain osera recouvrer la Raison
Enfant
Tombé au champ d’honneur en juillet un matin
Ton sang
N’aura peut-être pas été versé en vain
Messieurs
Comédiens musiciens poètes et chanteurs
Que les mêmes racines rattachent au même cœur
Souffrez qu’à votre voix modestement je mêle
La mienne afin que règne la paix en Israël
Ton sang
N’aura peut-être pas été versé en vain
Messieurs
Comédiens musiciens poètes et chanteurs
Que les mêmes racines rattachent au même cœur
Souffrez qu’à votre voix modestement je mêle
La mienne afin que règne la paix en Israël
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