Paroles de la chanson On est vieux par Georges Chelon
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Paroles de la chanson On est vieux par Georges Chelon
Il se passe des choses étranges
Depuis quelques temps
Des choses qui me dérangent
Rien n’est plus comme avant
On est vieux on est vieux
On est vieux vieux vieux
On est vieux (bis)
Ce matin j’ai pas pu
Enfiler mes chaussettes
Je crois que cette nuit
Mes bras ont raccourci
J’ai tout tenté pour
Parvenir à les mettre assis
Debout couché accroupi
Depuis quelques temps
Des choses qui me dérangent
Rien n’est plus comme avant
On est vieux on est vieux
On est vieux vieux vieux
On est vieux (bis)
Ce matin j’ai pas pu
Enfiler mes chaussettes
Je crois que cette nuit
Mes bras ont raccourci
J’ai tout tenté pour
Parvenir à les mettre assis
Debout couché accroupi
Rien n’y fit
On est vieux…
C’est l’temps béni des charentaises
Qui tiennent les pieds bien au chaud
Et que je vais trainer à l’aise
Jusqu’à mon dernier repos
On est vieux…
J’ai peur que ces ennuis
N’altèrent les affaires
Qu’il ne me reste plus guère
Que les enterrements
Conduire les copains
A leur demeure dernière
Me fera prendre l’air
On est vieux…
C’est l’temps béni des charentaises
Qui tiennent les pieds bien au chaud
Et que je vais trainer à l’aise
Jusqu’à mon dernier repos
On est vieux…
J’ai peur que ces ennuis
N’altèrent les affaires
Qu’il ne me reste plus guère
Que les enterrements
Conduire les copains
A leur demeure dernière
Me fera prendre l’air
Et passer un moment
On est vieux…
Pendant qu’j’y pense à Dieu ne plaise
Dans le froid mortel du tombeau
Qu’on me laisse mes charentaises
Je veux garder les pieds au chaud
On est vieux…
Il est temps de fermer
Les portes les fenêtres
Et d’aller se coucher
Avant qu’il fasse nuit
Avec cette impression
D’avoir raté la fête
A peine je me lève
On est vieux…
Pendant qu’j’y pense à Dieu ne plaise
Dans le froid mortel du tombeau
Qu’on me laisse mes charentaises
Je veux garder les pieds au chaud
On est vieux…
Il est temps de fermer
Les portes les fenêtres
Et d’aller se coucher
Avant qu’il fasse nuit
Avec cette impression
D’avoir raté la fête
A peine je me lève
Je me remets au lit
On est vieux…
Tiens voilà qu’on frappe à ma porte
Je vais l’ouvrir comme un idiot
C’est la faucheuse qui m’emporte
En deux trois coups
D’cuillère à pot
On est vieux…
On est vieux…
Tiens voilà qu’on frappe à ma porte
Je vais l’ouvrir comme un idiot
C’est la faucheuse qui m’emporte
En deux trois coups
D’cuillère à pot
On est vieux…
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