Paroles de la chanson Pense à la Seine par Georges Chelon
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Paroles de la chanson Pense à la Seine par Georges Chelon
Si tu as de la peine
Prends les quais de la Seine
Jusqu’au pont Mirabeau
Il parait qu’il y fait
Qu’il y fait toujours beau
Si tu as de la peine
Pense à la Seine
Elle se fait belle chaque matin
Elle dénoue ses longs cheveux
Elle roule et creuse son bassin
Pour promener les amoureux
Et les péniches comme des mouches vont et viennent
Ici et là sur ses hanches lourdes et pleines
Si tu as de la peine
Prends les quais de la Seine
Jusqu’au pont Mirabeau
Il parait qu’il y fait
Qu’il y fait toujours beau
Si tu as de la peine
Pense à la Seine
Elle se fait belle chaque matin
Elle dénoue ses longs cheveux
Elle roule et creuse son bassin
Pour promener les amoureux
Et les péniches comme des mouches vont et viennent
Ici et là sur ses hanches lourdes et pleines
Si tu as de la peine
Pense à la Seine
La Seine bien sûr tu comprends
La Seine c’est comme une femme
Si tu lui parles doucement
Elle prend sur elle toutes tes larmes
Tous ceux qui cherchent dans la nuit
Même en plein jour leur pauvre étoile
Ceux qui trainent près de son lit
Ont tous le mal des cathédrales
Tu les vois devant les tours de Notre-Dame
Les flèches gothiques plantées dans leur âme
Si tu as de la peine
Prends les quais de la Seine
Ça fait du bien de la regarder
On se sent à moitié
A moitié consolé
La Seine bien sûr tu comprends
La Seine c’est comme une femme
Si tu lui parles doucement
Elle prend sur elle toutes tes larmes
Tous ceux qui cherchent dans la nuit
Même en plein jour leur pauvre étoile
Ceux qui trainent près de son lit
Ont tous le mal des cathédrales
Tu les vois devant les tours de Notre-Dame
Les flèches gothiques plantées dans leur âme
Si tu as de la peine
Prends les quais de la Seine
Ça fait du bien de la regarder
On se sent à moitié
A moitié consolé
Si tu as de la peine
Jette-la dans la Seine
Car c’est elle qui ouvre et qui ferme
Toutes les écluses des cœurs
C’est pourquoi le long de ses berges
Elle drague autant de flâneurs
A faire pleurer les sirènes du Havre
Et rugir les canons de toute une escadre
Si tu as de la peine
Jette-la dans la Seine
La Seine bien sûr tu comprends la Seine
C’est comme une femme
Si tu lui parles doucement
Elle prend sur elle toutes tes larmes
Aussi vrai qu’imprudemment
Elle s’écarte et s’ouvre en deux
Jette-la dans la Seine
Car c’est elle qui ouvre et qui ferme
Toutes les écluses des cœurs
C’est pourquoi le long de ses berges
Elle drague autant de flâneurs
A faire pleurer les sirènes du Havre
Et rugir les canons de toute une escadre
Si tu as de la peine
Jette-la dans la Seine
La Seine bien sûr tu comprends la Seine
C’est comme une femme
Si tu lui parles doucement
Elle prend sur elle toutes tes larmes
Aussi vrai qu’imprudemment
Elle s’écarte et s’ouvre en deux
Sépare les rives et les amants
Jetant l’île Saint-Louis entre eux
Elle prend sur elle toutes tes larmes
Si tu lui parles doucement
La Seine c’est comme une femme
Tu comprends
La Seine c’est comme une femme
Qui te prend
Jetant l’île Saint-Louis entre eux
Elle prend sur elle toutes tes larmes
Si tu lui parles doucement
La Seine c’est comme une femme
Tu comprends
La Seine c’est comme une femme
Qui te prend
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