Paroles de la chanson Le vieil homme par Georges Dor
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Paroles de la chanson Le vieil homme par Georges Dor
Sa vieillesse est mise en pension
Il est assis sur son perron
Et regarde sa terre
Il regarde mourir le jour
Mais le jour ne meurt jamais seul
On meurt un p'tit peu avec lui
Au bout d' ses cent arpents
Il voit le bout du monde
Le bout du monde est pas b'en loin
Quand on est au bout de sa vie
Les vieux sont morts depuis longtemps
La vie ne se ressemble plus
Il n'est plus rien qu'il reconnaisse
Même les enfants qu'il a eus
Avec la femme qu'il aimait
Il est assis sur son perron
Et regarde sa terre
Il regarde mourir le jour
Mais le jour ne meurt jamais seul
On meurt un p'tit peu avec lui
Au bout d' ses cent arpents
Il voit le bout du monde
Le bout du monde est pas b'en loin
Quand on est au bout de sa vie
Les vieux sont morts depuis longtemps
La vie ne se ressemble plus
Il n'est plus rien qu'il reconnaisse
Même les enfants qu'il a eus
Avec la femme qu'il aimait
Sont partis avec leur jeunesse
Il reste seul avec son chien
Dans la maison qui l'a vu naître
Qui le verra aussi mourir
Au bout du temps, de sa tristesse
Qu'est-ce qu'on peut faire avec sa vie
Quand elle est rendue au samedi
De la dernière fin de semaine?
Il se lève avec le soleil
Et marche dans le petit jour
Les jours sont de plus en plus courts
Les temps ont trop changé pour lui
Il n'essaie même plus de comprendre
Ils changeront pour nous aussi
Chacun son tour on se fait prendre
Dans sa berceuse à la fenêtre
Il reste seul avec son chien
Dans la maison qui l'a vu naître
Qui le verra aussi mourir
Au bout du temps, de sa tristesse
Qu'est-ce qu'on peut faire avec sa vie
Quand elle est rendue au samedi
De la dernière fin de semaine?
Il se lève avec le soleil
Et marche dans le petit jour
Les jours sont de plus en plus courts
Les temps ont trop changé pour lui
Il n'essaie même plus de comprendre
Ils changeront pour nous aussi
Chacun son tour on se fait prendre
Dans sa berceuse à la fenêtre
C'est presque la centième fois
Qu'il voit la nature renaître
Mais le printemps ne fleurit pas
Dans les veines de ses deux bras
Qui n'ont plus la force d'étreindre
La cinquième saison
C'est la vraie saison morte
Elle ne laisse qu'une fleur
Qui se fane devant sa porte
Sa vieillesse est mise en pension
Il est assis sur son perron
Et regarde sa terre
Il regarde mourir le jour
Mais le jour ne meurt jamais seul
On meurt un p'tit peu avec lui
Au bout d' ses cent arpents
Il voit le bout du monde
Qu'il voit la nature renaître
Mais le printemps ne fleurit pas
Dans les veines de ses deux bras
Qui n'ont plus la force d'étreindre
La cinquième saison
C'est la vraie saison morte
Elle ne laisse qu'une fleur
Qui se fane devant sa porte
Sa vieillesse est mise en pension
Il est assis sur son perron
Et regarde sa terre
Il regarde mourir le jour
Mais le jour ne meurt jamais seul
On meurt un p'tit peu avec lui
Au bout d' ses cent arpents
Il voit le bout du monde
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Le bout du monde est pas b'en loin
Quand on est au bout de sa vie
Le bout du monde est pas b'en loin
Quand on est au bout de sa vie
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