Paroles de la chanson La chanson de Jérôme par Georges Moustaki
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Paroles de la chanson La chanson de Jérôme par Georges Moustaki
Lorsque le feu sera éteint ce sera le petit matin je partirai
Tu seras encore endormie dans la, tiédeur de notre lit rideaux tirés
Tu souriras dans ton sommeil tandis qu'un rayon de soleil dessus les toits
Viendra me prendre par la main pour m'emmener sur les chemins très loin de toi
Je te laisserai ma guitare pour qu'elle fasse encore croire à mon retour
Pour qu'elle chante en mon absence a chaque fois que le silence sera trop lourd
Mais je garderai sur ma bouche le souffle de ta lèvre douce qui s'offrira
Comme une fleur que l'on respire a chaque fois que ton sourire me manquera
Tu seras encore endormie dans la, tiédeur de notre lit rideaux tirés
Tu souriras dans ton sommeil tandis qu'un rayon de soleil dessus les toits
Viendra me prendre par la main pour m'emmener sur les chemins très loin de toi
Je te laisserai ma guitare pour qu'elle fasse encore croire à mon retour
Pour qu'elle chante en mon absence a chaque fois que le silence sera trop lourd
Mais je garderai sur ma bouche le souffle de ta lèvre douce qui s'offrira
Comme une fleur que l'on respire a chaque fois que ton sourire me manquera
Tu m'as donné en un seul jour des mille et une nuits d'amour c'est pour cela
Que je pars au petit matin plutôt que d'attendre la fin de ce jour-là
Pour que rien ne vienne flétrir le si fragile souvenir de cet instant
Où je fus pour quelques secondes l'homme le plus heureux du monde de tous les temps
Lorsque le feu sera éteint ce sera le petit matin je partirai
Tu seras encore endormie dans la tiédeur de notre lit rideaux tirés
Tu souriras dans ton sommeil tandis qu'un rayon de soleil dessus les toits
Viendra me prendre par la main pour m'emmener sur les chemins très loin de toi
Que je pars au petit matin plutôt que d'attendre la fin de ce jour-là
Pour que rien ne vienne flétrir le si fragile souvenir de cet instant
Où je fus pour quelques secondes l'homme le plus heureux du monde de tous les temps
Lorsque le feu sera éteint ce sera le petit matin je partirai
Tu seras encore endormie dans la tiédeur de notre lit rideaux tirés
Tu souriras dans ton sommeil tandis qu'un rayon de soleil dessus les toits
Viendra me prendre par la main pour m'emmener sur les chemins très loin de toi
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