Paroles de la chanson Dépression par Georgio
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Paroles de la chanson Dépression par Georgio
La solitude est belle, tel un cheval au galop un soir de pleine lune
Oui, j'en suis accro... un peu comme à la thune
Bonheur artificiel, infidélités, plus que d'artifices
Tu veux pas qu'il te ramène du vice
Tu connais la chanson : "laisse pas traîner ton fils"
Les objectifs qui défilent, le sablier qui te dis : "va-t-en !"
Une nuit, une fille, l'eau et le feu
Couchent ensemble dans des draps blancs
Des valises sous les yeux, pourtant les voyages qu'on entreprend
Ne sont que des vœux, des promesses, perdues à travers le temps
Oui, j'en suis accro... un peu comme à la thune
Bonheur artificiel, infidélités, plus que d'artifices
Tu veux pas qu'il te ramène du vice
Tu connais la chanson : "laisse pas traîner ton fils"
Les objectifs qui défilent, le sablier qui te dis : "va-t-en !"
Une nuit, une fille, l'eau et le feu
Couchent ensemble dans des draps blancs
Des valises sous les yeux, pourtant les voyages qu'on entreprend
Ne sont que des vœux, des promesses, perdues à travers le temps
Quand mes nuits sont pâles, que j'ai les yeux flammes
Et le cœur embrasé, je r'pense à toi, à tes pensées et toi
Qui comptent trouver l'amour à chaque homme embrassé
J'ai mal, oh oui tu l'sais que j'ai mal...
Que c'est plus l'amour, nan, que c'est ma tête qui s'acharne
Dépression, dépression, dépression, dépression
Dépression, dépression, dépression, dépression
Le cerveau qui va exploser
Dépression, dépression, dépression, dépression
J'suis complètement névrosé
Dépression, dépression, dépression, dépression
Tu me détruis, je me détruis, oui, il en est ainsi
J'en suis devenu malade, j'ai de l'assa-somnie
J'ai pas l'impression d'être fou, non, ni l'impression d'être faible
Je cherche de quoi tenir debout, ouais, de quoi retenir mes rêves
Et pas à pas, il n'y plus que l'ombre de moi-même
De longues nuits à méditer, à marcher, à fuir la haine
Et l'odeur de tabac froid, à fuir ma culpabilité
Et mes frustrations, j'entends encore le bruit de ses ongles
Dépression, dépression, dépression, dépression
Tu me détruis, je me détruis, oui, il en est ainsi
J'en suis devenu malade, j'ai de l'assa-somnie
J'ai pas l'impression d'être fou, non, ni l'impression d'être faible
Je cherche de quoi tenir debout, ouais, de quoi retenir mes rêves
Et pas à pas, il n'y plus que l'ombre de moi-même
De longues nuits à méditer, à marcher, à fuir la haine
Et l'odeur de tabac froid, à fuir ma culpabilité
Et mes frustrations, j'entends encore le bruit de ses ongles
Et une phobie plus marquante que le cul d'la blonde
On se bat, contre vents et marées, et nos têtes explosent
À force de penser, on se noie dans l'écume de nos verres d'eau
J'ai mal à la terre, l'amour maternel
Dors le soir dans des cabarets, j'me fais tout petit pour de vrai
Dîtes-moi comment changer les paramètres
Dépression, dépression, dépression, dépression
Dépression, dépression, dépression, dépression
Le cerveau qui va exploser
Dépression, dépression, dépression, dépression
On se bat, contre vents et marées, et nos têtes explosent
À force de penser, on se noie dans l'écume de nos verres d'eau
J'ai mal à la terre, l'amour maternel
Dors le soir dans des cabarets, j'me fais tout petit pour de vrai
Dîtes-moi comment changer les paramètres
Dépression, dépression, dépression, dépression
Dépression, dépression, dépression, dépression
Le cerveau qui va exploser
Dépression, dépression, dépression, dépression
J'suis complètement névrosé
Dépression, dépression, dépression, dépression
D'la pluie qui tombe sur un ciré jaune
C'est beau c'est la mélancolie
Ma chambre qui sent le fauve
J'pense à mes problèmes quand tous mes frères sont endormis
Impossible de mettre les voiles, j'suis rattaché à c'que j'déteste
J'avance doucement, les pieds dans la vase, l'âme en sang
Et j'tire sur les feux d'détresse, dis-moi, dis-moi, dis-moi
Comment faire des choix, selon ses peurs parfois ?
Permets-moi de t'avouer que j'ai l'coeur rempli d'encre, de sang et de boue
Dépression, dépression, dépression, dépression
D'la pluie qui tombe sur un ciré jaune
C'est beau c'est la mélancolie
Ma chambre qui sent le fauve
J'pense à mes problèmes quand tous mes frères sont endormis
Impossible de mettre les voiles, j'suis rattaché à c'que j'déteste
J'avance doucement, les pieds dans la vase, l'âme en sang
Et j'tire sur les feux d'détresse, dis-moi, dis-moi, dis-moi
Comment faire des choix, selon ses peurs parfois ?
Permets-moi de t'avouer que j'ai l'coeur rempli d'encre, de sang et de boue
Et que je suis rien, tu vois bien que moi j'refuse d'être tatoué
Je veux pouvoir me retrouver nu
D'ailleurs je cherche à me retrouver
Et peut-être j'en suis qu'au début
En tout cas je chercherai à en crever
J'transporte des souvenirs et des regrets
Des images plein la tête, en manque de confort
Pareil à mes projets, me donne mal au gratte-ciel
Dépression, dépression, dépression, dépression
Dépression, dépression, dépression, dépression
Le cerveau qui va exploser
Dépression, dépression, dépression, dépression
Je veux pouvoir me retrouver nu
D'ailleurs je cherche à me retrouver
Et peut-être j'en suis qu'au début
En tout cas je chercherai à en crever
J'transporte des souvenirs et des regrets
Des images plein la tête, en manque de confort
Pareil à mes projets, me donne mal au gratte-ciel
Dépression, dépression, dépression, dépression
Dépression, dépression, dépression, dépression
Le cerveau qui va exploser
Dépression, dépression, dépression, dépression
J'suis complètement névrosé
Dépression, dépression, dépression, dépression
Dépression, dépression, dépression, dépression
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