Paroles de la chanson Soto par Georgio
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Paroles de la chanson Soto par Georgio
Ouais
Tu sais
Ce soir j'suis seul, j'me sens comme un con, j'pense au gosse que j'ai vu à Medellín
J'veux bien aider mon frère sur quelques plavons, il peut compter sur moi si l'affaire est clean
Même si parfois j'suis un vrai débile, j'crois au-delà de ce que j'vois dans mes rétines
La vue sur un monde devenu frénétique, quand j'pense trop la dépression me fait des signes
C'est pas tes faux compliments qui masquent le froid, j'voulais exister dans toutes les bouches
Mais vu comment l'homme traite les hommes, maintenant j'm'en fous qu'on parle de moi
À chaque anniversaire, j'fais un pas d'plus vers l'au-delà, je souffle la poussière, seuls les souvenirs m'éclaire près d'vous, me rappelle à toi
Tu sais
Ce soir j'suis seul, j'me sens comme un con, j'pense au gosse que j'ai vu à Medellín
J'veux bien aider mon frère sur quelques plavons, il peut compter sur moi si l'affaire est clean
Même si parfois j'suis un vrai débile, j'crois au-delà de ce que j'vois dans mes rétines
La vue sur un monde devenu frénétique, quand j'pense trop la dépression me fait des signes
C'est pas tes faux compliments qui masquent le froid, j'voulais exister dans toutes les bouches
Mais vu comment l'homme traite les hommes, maintenant j'm'en fous qu'on parle de moi
À chaque anniversaire, j'fais un pas d'plus vers l'au-delà, je souffle la poussière, seuls les souvenirs m'éclaire près d'vous, me rappelle à toi
Je trinque aux personnes qu'on a laissé sur la bande d'arrêt d'urgence, aux erreurs commises au nom d'l'amitié qui nous ont laissés sur l'banc
Des remplaçants ou devant la juge, on donne tout maintenant, j'te dis à tard plus
Avant qu'mes rêves finissent assombris, échouent au pays des nuits sans la lune
[Interlude musical]
Les yeux qui pleurent sont muets et les cœurs qui battent ne font que crier
Ouais j'l'ai remarqué sur un proche sortant d'l'hôpital des Peupliers
J'avance vers la paix, y'a pas beaucoup d'chanceux, j'refais l'monde dans un train d'banlieue
J'coupe ma conversation et je laisse ma place, quand j'vois cette dame j'imagine mes parents vieux
Des remplaçants ou devant la juge, on donne tout maintenant, j'te dis à tard plus
Avant qu'mes rêves finissent assombris, échouent au pays des nuits sans la lune
[Interlude musical]
Les yeux qui pleurent sont muets et les cœurs qui battent ne font que crier
Ouais j'l'ai remarqué sur un proche sortant d'l'hôpital des Peupliers
J'avance vers la paix, y'a pas beaucoup d'chanceux, j'refais l'monde dans un train d'banlieue
J'coupe ma conversation et je laisse ma place, quand j'vois cette dame j'imagine mes parents vieux
D'ailleurs un jour on va donner la vie, qu'est-ce que je donnerai de moi à la chaire de ma chaire
Mes oreilles et mes bras, mon cœur et ma langue, lui expliquer qu'ici il y a plus rien à perdre
On veut t'ouvrir tes yeux, détruire tes rêves, te rentrer dans l'moule, je ferme les miens, je brise mes chaînes quand je saute dans la foule
J'dirai à mes enfants de croire en eux
D'apprendre à être patients mais pas envieux
Que le monde leur appartient s'ils s'ouvrent à lui
Qu'il faut savoir s'imposer et s'faire tout petit
Mes oreilles et mes bras, mon cœur et ma langue, lui expliquer qu'ici il y a plus rien à perdre
On veut t'ouvrir tes yeux, détruire tes rêves, te rentrer dans l'moule, je ferme les miens, je brise mes chaînes quand je saute dans la foule
J'dirai à mes enfants de croire en eux
D'apprendre à être patients mais pas envieux
Que le monde leur appartient s'ils s'ouvrent à lui
Qu'il faut savoir s'imposer et s'faire tout petit
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