Paroles de la chanson Soleil D'hiver par Gérard Berliner
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Paroles de la chanson Soleil D'hiver par Gérard Berliner
Léger, sur les verrières des gares
Et les péniches enneigées
Léger, sur les boulevards poudrés de sable
Dans les stations, villas fermées
Léger, selon le vent, tu te déplaces
Et sur les villes et les marais
Léger, timide sur les faces des terrasses
Les tables rondes désertées
Léger, faut voir les routes et les ornières
Les voies tranquilles, les chemins creux
Léger, inquiet pour les fleurs prisonnières
D'une mer de glace sur leurs yeux
Soleil d'hiver
Très fort sur les remords qui rongent
Et le silence profond des clés
Et les péniches enneigées
Léger, sur les boulevards poudrés de sable
Dans les stations, villas fermées
Léger, selon le vent, tu te déplaces
Et sur les villes et les marais
Léger, timide sur les faces des terrasses
Les tables rondes désertées
Léger, faut voir les routes et les ornières
Les voies tranquilles, les chemins creux
Léger, inquiet pour les fleurs prisonnières
D'une mer de glace sur leurs yeux
Soleil d'hiver
Très fort sur les remords qui rongent
Et le silence profond des clés
Soleil d'hiver
Les cœurs tenus par le mensonge
Entre les murs des condamnés
Soleil d'hiver
Longtemps sur les chênes et les hêtres
Et les renards hors du terrier
Léger, très chaud sur les hommes qui vieillissent
Avec leur front désemparé
Léger, et sur les vieux qui ne guérissent
Qu'entre une visite, un goûter
Léger, tu rayes le plus parfait des jaunes
Tous les nuages qui plafonnent
Entre l'absence du moindre vert
Un ciel tombé tout à l'envers
Soleil d'hiver
Les cœurs tenus par le mensonge
Entre les murs des condamnés
Soleil d'hiver
Longtemps sur les chênes et les hêtres
Et les renards hors du terrier
Léger, très chaud sur les hommes qui vieillissent
Avec leur front désemparé
Léger, et sur les vieux qui ne guérissent
Qu'entre une visite, un goûter
Léger, tu rayes le plus parfait des jaunes
Tous les nuages qui plafonnent
Entre l'absence du moindre vert
Un ciel tombé tout à l'envers
Soleil d'hiver
Très fort sur les remords qui rongent
Et le silence profond des clés
Soleil d'hiver
Les cœurs tenus par le mensonge
Entre les murs des condamnés
Soleil d'hiver
Longtemps sur les chênes et les hêtres
Et les renards hors du terrier
Léger, sur les verrières des gares
Et les péniches enneigées
Léger, sur les boulevards poudrés de sable
Dans les stations, villas fermées
Léger, selon le vent, tu te déplaces
Et sur les villes et les marais
Soleil d'hiver
Très fort sur les remords qui rongent
Et le silence profond des clés
Soleil d'hiver
Les cœurs tenus par le mensonge
Entre les murs des condamnés
Soleil d'hiver
Longtemps sur les chênes et les hêtres
Et les renards hors du terrier
Léger, sur les verrières des gares
Et les péniches enneigées
Léger, sur les boulevards poudrés de sable
Dans les stations, villas fermées
Léger, selon le vent, tu te déplaces
Et sur les villes et les marais
Soleil d'hiver
Très fort sur les remords qui rongent
Et le silence profond des clés
Soleil d'hiver
Les cœurs tenus par le mensonge
Entre les murs des condamnés
Soleil d'hiver
Très chaud sur les hommes qui vieillissent
Avec leur front désemparé
Soleil d'hiver
Les cœurs tenus par le mensonge
Entre les murs des condamnés
Soleil d'hiver
Très chaud sur les hommes qui vieillissent
Avec leur front désemparé
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