Paroles de la chanson Banlieue Nord par Manset
Chanson manquante pour "Manset" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Banlieue Nord"
Proposer une correction des paroles de "Banlieue Nord"
Paroles de la chanson Banlieue Nord par Manset
On passe au bord d'une grande cheminée
De brique et de pierre.
La pluie la neige se sont mises à tomber
Sur les manteaux d'hiver.
Plus moyen de voir autre chose que la misère
Dans cette ville de hasard et de parkings déserts.
Les enfants des îles qui dansent sous la lumière,
Sous la grande lumière
Des parkings déserts,
Où
Reviennent
Traîner le long des épaves
Les chevelures sans foulard
Dans filles grandies trop tard
De brique et de pierre.
La pluie la neige se sont mises à tomber
Sur les manteaux d'hiver.
Plus moyen de voir autre chose que la misère
Dans cette ville de hasard et de parkings déserts.
Les enfants des îles qui dansent sous la lumière,
Sous la grande lumière
Des parkings déserts,
Où
Reviennent
Traîner le long des épaves
Les chevelures sans foulard
Dans filles grandies trop tard
Qui s'endorment sur le sol,
Dans les caves, les entresols,
Revivant toujours l'histoire
Prises par les gamins du square.
Mon dieu, montrez-vous quand même,
Le jour des communions, des baptêmes.
Bénissez les robes blanches
Que les souillures un jour balayeront
Comme une avalanche.
On passe au pied d'une grande tour carrée
Avec ses miradors.
La pluie, la neige se sont mises à tomber.
On y pense encore.
C'est là qu'on a vécu et, de toute manière,
Les enfants des îles étaient tous nos frères
Et qu'on le veuille ou non, on n'peux plus s'en défaire,
Dans les caves, les entresols,
Revivant toujours l'histoire
Prises par les gamins du square.
Mon dieu, montrez-vous quand même,
Le jour des communions, des baptêmes.
Bénissez les robes blanches
Que les souillures un jour balayeront
Comme une avalanche.
On passe au pied d'une grande tour carrée
Avec ses miradors.
La pluie, la neige se sont mises à tomber.
On y pense encore.
C'est là qu'on a vécu et, de toute manière,
Les enfants des îles étaient tous nos frères
Et qu'on le veuille ou non, on n'peux plus s'en défaire,
Sous la grande lumière
Des parkings déserts
Où
Reviennent,
Comme des chats tombés d'une gouttière,
Les visages tristes et sans paupières
Des enfants qui jettent des pierres.
Mon dieu, montrez-vous quand même,
Le jour des communions, des baptêmes.
Bénissez les robes blanches
Que les souillures un jour balayeront
Comme une avalanche.
Et la nuit, dans les draps,
La seule chose qu'on n'veux pas
Et qu'on craigne encore,
Mais qui nous glace d'effroi,
Des parkings déserts
Où
Reviennent,
Comme des chats tombés d'une gouttière,
Les visages tristes et sans paupières
Des enfants qui jettent des pierres.
Mon dieu, montrez-vous quand même,
Le jour des communions, des baptêmes.
Bénissez les robes blanches
Que les souillures un jour balayeront
Comme une avalanche.
Et la nuit, dans les draps,
La seule chose qu'on n'veux pas
Et qu'on craigne encore,
Mais qui nous glace d'effroi,
C'est banlieue nord.
On a beau tout faire,
Quand on remue la terre
Et ça bouge encore.
C'était banlieue nord
Et ça saigne encore.
On a beau tout faire,
Quand on remue la terre
Et ça bouge encore.
C'était banlieue nord
Et ça saigne encore.
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)