Paroles de la chanson La revolutione par Gilbert Becaud
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Paroles de la chanson La revolutione par Gilbert Becaud
Elle mélange la musique et le son du canon
Les discours prophétiques et les chansons
En octobre à Moscou, hier à Varsovie
Elle aime par-dessus tout l’air de Paris
Elle chante la liberté, la Revolutione
Juste avant de t’arrêter, la Revolutione
Sans pitié, ni scrupule, avec toutes les audaces
On dirait un garçon, c’est une garce
Elle est plutôt jolie, elle a même de l’humour
C’est pour mieux t’étouffer qu’elle te fait l’amour
On raconte qu’elle est née à la Revolutione
Les discours prophétiques et les chansons
En octobre à Moscou, hier à Varsovie
Elle aime par-dessus tout l’air de Paris
Elle chante la liberté, la Revolutione
Juste avant de t’arrêter, la Revolutione
Sans pitié, ni scrupule, avec toutes les audaces
On dirait un garçon, c’est une garce
Elle est plutôt jolie, elle a même de l’humour
C’est pour mieux t’étouffer qu’elle te fait l’amour
On raconte qu’elle est née à la Revolutione
D’une flaque sur un pavé la Revolutione
Tout autour de la terre elle a fait des enfants
Qui crachent sur leur mère, quand ils sont grands
Elle est rouge, elle est noire, de toutes les couleurs
Messagère de l’espoir et de la peur
Elle te crie fraternité, la Revolutione
Avant de te fusiller la Revolutione
Qu’elle s’appelle convention, ou Soviet, ou commune
Elle remplit les prisons, les fosses communes
Au matin troubadour, le même soir soldat
De Rosa Luxembourg à Guevara
Tout autour de la terre elle a fait des enfants
Qui crachent sur leur mère, quand ils sont grands
Elle est rouge, elle est noire, de toutes les couleurs
Messagère de l’espoir et de la peur
Elle te crie fraternité, la Revolutione
Avant de te fusiller la Revolutione
Qu’elle s’appelle convention, ou Soviet, ou commune
Elle remplit les prisons, les fosses communes
Au matin troubadour, le même soir soldat
De Rosa Luxembourg à Guevara
Elle te laisse la terre brûlée, la Revolutione
Au nom de l’humanité, la Revolutione
Elle va mourir debout, seule au milieu des ruines
Se battant jusqu’au bout en héroine
Ou vieillir en rêvant du temps de son jeune âge
Parmi ses partisans devenus sages
Même quand elle est enterrée la Revolutione
On la voit ressusciter la Revolutione
Malgré ce qu’on en dit, il faudrait l’inventer
C’est comme une maladie qui rend la santé
Comme les mauvais rêves dont on sort délivré
Comme un orage qui crève au ciel d’été
Tu crois qu’elle t’a oublié, la Revolutione
Au nom de l’humanité, la Revolutione
Elle va mourir debout, seule au milieu des ruines
Se battant jusqu’au bout en héroine
Ou vieillir en rêvant du temps de son jeune âge
Parmi ses partisans devenus sages
Même quand elle est enterrée la Revolutione
On la voit ressusciter la Revolutione
Malgré ce qu’on en dit, il faudrait l’inventer
C’est comme une maladie qui rend la santé
Comme les mauvais rêves dont on sort délivré
Comme un orage qui crève au ciel d’été
Tu crois qu’elle t’a oublié, la Revolutione
Mais elle dort une bombe au pied, la Revolutione, la Revolutione
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