Paroles de la chanson La Ville par Gilbert Becaud
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Paroles de la chanson La Ville par Gilbert Becaud
Un jour j'ai quitté mon village
Pour la ville, et en arrivant
J'ai cru qu'une main de géant
Venait de frapper mon visage
La ville dansait à mes yeux
Comme un ballet exceptionnel
Réglé par les forces du ciel
Animé par le feu de Dieu, feu de Dieu
De la terre semblaient jaillir
Les accords d'une symphonie
Composée de sons et de bruits
De larmes, de cris et de rires
Et des feux rouges, jaunes et verts
Pour la ville, et en arrivant
J'ai cru qu'une main de géant
Venait de frapper mon visage
La ville dansait à mes yeux
Comme un ballet exceptionnel
Réglé par les forces du ciel
Animé par le feu de Dieu, feu de Dieu
De la terre semblaient jaillir
Les accords d'une symphonie
Composée de sons et de bruits
De larmes, de cris et de rires
Et des feux rouges, jaunes et verts
S'allumaient pour réglementer
La marche plus ou moins pressée
De tout un monde bariolé
Des uniformes battaient la mesure avec un bâton blanc
Dirigeant le grand trafic de cette masse en mouvement
Ce monstre gris à mille bouches appelé métropolitain
Semblait happer ou rejeter l'immense flot humain
Je pensais attention, attention,
La ville est une étrange dame
Dont le cœur à le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle est comme un gouffre sans fond
La marche plus ou moins pressée
De tout un monde bariolé
Des uniformes battaient la mesure avec un bâton blanc
Dirigeant le grand trafic de cette masse en mouvement
Ce monstre gris à mille bouches appelé métropolitain
Semblait happer ou rejeter l'immense flot humain
Je pensais attention, attention,
La ville est une étrange dame
Dont le cœur à le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle est comme un gouffre sans fond
Et je restais émerveillé
De ce que j'avais découvert
Coeur battant, les yeux grands ouverts
Avec l'impression de rêver, éveillé
Sans savoir que je pénétrais
Dans le temple des illusions
Entraîné dans un tourbillon
Insensé
Quand dans la houle incessante
De la foule puissante
Une fille avec un teint de plâtre m'a dit,
Viens, toi qui porte en ton cœur
Les eaux fortes d'ailleurs
Sans regrets entre dans mon théâtre
Moi dans l'atroce cohue
De ce que j'avais découvert
Coeur battant, les yeux grands ouverts
Avec l'impression de rêver, éveillé
Sans savoir que je pénétrais
Dans le temple des illusions
Entraîné dans un tourbillon
Insensé
Quand dans la houle incessante
De la foule puissante
Une fille avec un teint de plâtre m'a dit,
Viens, toi qui porte en ton cœur
Les eaux fortes d'ailleurs
Sans regrets entre dans mon théâtre
Moi dans l'atroce cohue
Comme un gosse perdu
Croyant que c'était ma providence
Je l'ai suivie tout le jour
Mais dans ma nuit d'amour
Elle a ri, elle a ri, elle a ri
Attention, attention, la ville est une étrange dame
Dont le coeur a le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle a brisé mes illusions
Adieu, ma ville au cœur cruel
Faux paradis pour malheureux
Qui me jetait la poudre aux yeux
Pour m'empêcher de voir le ciel, réel
Croyant que c'était ma providence
Je l'ai suivie tout le jour
Mais dans ma nuit d'amour
Elle a ri, elle a ri, elle a ri
Attention, attention, la ville est une étrange dame
Dont le coeur a le goût du drame
Elle est sans feu, elle est sans âme
Elle a brisé mes illusions
Adieu, ma ville au cœur cruel
Faux paradis pour malheureux
Qui me jetait la poudre aux yeux
Pour m'empêcher de voir le ciel, réel
Et dans le froid du petit jour
Si je repars désemparé
C'est dans l'espoir de retrouver
Ma maison
Mon soleil
Mes amis
Mes amours
Si je repars désemparé
C'est dans l'espoir de retrouver
Ma maison
Mon soleil
Mes amis
Mes amours
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