Paroles de la chanson Puberte par Gilbert Hennevic
Chanson manquante pour "Gilbert Hennevic" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Puberte"
Proposer une correction des paroles de "Puberte"
Paroles de la chanson Puberte par Gilbert Hennevic
Je revois mes quinze ans sous les glycines
Ombrant les yeux violets de ma cousine
Que j’aimais d’un amour raphaélique,
Raphaélique
Si je n’osais toucher un cheveux d’elle,
La chair est faible, et l’soir à la chandelle,
J’avais parfois de blâmables pratiques (bis)
Chantez vos pubertés
Romanesquement pieuses !
Moi, j’prenais mon acné
Pour des p’tites fleurs z’honteuses
En ce temps-là, je ruinais ma santé
En balançant la nuit mes voix lactées
Au ciel éclaboussé des magazines
Des magazines
Ombrant les yeux violets de ma cousine
Que j’aimais d’un amour raphaélique,
Raphaélique
Si je n’osais toucher un cheveux d’elle,
La chair est faible, et l’soir à la chandelle,
J’avais parfois de blâmables pratiques (bis)
Chantez vos pubertés
Romanesquement pieuses !
Moi, j’prenais mon acné
Pour des p’tites fleurs z’honteuses
En ce temps-là, je ruinais ma santé
En balançant la nuit mes voix lactées
Au ciel éclaboussé des magazines
Des magazines
Faut dire aussi que vous étiez girondes,
Sultanes lascives de Cinémonde,
Et plus abordables que ma cousine (bis)
Chantez vos pubertés
Romanesquement pieuses !
Moi, j’dis qu’la timidité
A des r’tombées /flic-floc/fâcheuses
Tous les soirs, je rêvais d’être l’amant,
Tiens, pourquoi pas, d’une amie à Maman
Mais quand l’aurore passait par ma fenêtre
Par ma fenêtre
Je méditais, en faisant mon plumard
Sur ces archipels de taches bizarres
Et chacune était mon île déserte. (bis)
Chantez vos pubertés
Romanesquement pieuses !
Sultanes lascives de Cinémonde,
Et plus abordables que ma cousine (bis)
Chantez vos pubertés
Romanesquement pieuses !
Moi, j’dis qu’la timidité
A des r’tombées /flic-floc/fâcheuses
Tous les soirs, je rêvais d’être l’amant,
Tiens, pourquoi pas, d’une amie à Maman
Mais quand l’aurore passait par ma fenêtre
Par ma fenêtre
Je méditais, en faisant mon plumard
Sur ces archipels de taches bizarres
Et chacune était mon île déserte. (bis)
Chantez vos pubertés
Romanesquement pieuses !
Où est la chasteté,
Pour votre blanchisseuse ?
Vous êtes tous passés par là, vous savez bien
Par ces transports qui ne mènent pas loin
Dis, mon p’tit frère, j’comprends qu’tu en aies assez
j’comprends qu’tu en aies assez
De jouer les bagnards de la Morale
Et de traîner comme deux boulets fatals
Les p’tites sphères qui s’balancent au d’sus d’tes pieds (bis)
Rangez-moi ces pubertés
Romanesquement pieuses !
Et cette moralité,
Qui est foutrement gâteuse !
Pour votre blanchisseuse ?
Vous êtes tous passés par là, vous savez bien
Par ces transports qui ne mènent pas loin
Dis, mon p’tit frère, j’comprends qu’tu en aies assez
j’comprends qu’tu en aies assez
De jouer les bagnards de la Morale
Et de traîner comme deux boulets fatals
Les p’tites sphères qui s’balancent au d’sus d’tes pieds (bis)
Rangez-moi ces pubertés
Romanesquement pieuses !
Et cette moralité,
Qui est foutrement gâteuse !
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)