Paroles de la chanson Le grand cerf-volant par Gilles Vigneault
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Paroles de la chanson Le grand cerf-volant par Gilles Vigneault
Un jour je ferai mon grand cerf-volant
Un côté rouge, un côté blanc
Un jour je ferai mon grand cerf-volant
Un côté rouge, un côté blanc
Un côté tendre
Un jour je ferai mon grand cerf-volant
J’y ferai monter vos cent mille enfants
Il vont m’entendre
Je les vois venir du soleil levant
Puis j’attellerai les chevaux du vent
Un cheval rouge, un cheval blanc
Puis j’attellerai les chevaux du vent
Un cheval rouge, un cheval blanc
Un cheval pie
Puis j’attellerai les chevaux du vent
Un côté rouge, un côté blanc
Un jour je ferai mon grand cerf-volant
Un côté rouge, un côté blanc
Un côté tendre
Un jour je ferai mon grand cerf-volant
J’y ferai monter vos cent mille enfants
Il vont m’entendre
Je les vois venir du soleil levant
Puis j’attellerai les chevaux du vent
Un cheval rouge, un cheval blanc
Puis j’attellerai les chevaux du vent
Un cheval rouge, un cheval blanc
Un cheval pie
Puis j’attellerai les chevaux du vent
Et nous irons voir tous les océans
S’ils sont en vie
Si les océans sont toujours vivants
Par-dessus les bois, par-dessus les champs
Un oiseau rouge, un oiseau blanc
Par-dessus les bois, par-dessus les champs
Un oiseau rouge, un oiseau blanc
Un oiseau-lyre
Par-dessus les bois, par-dessus les champs
Qui nous mènera chez le Mal méchant
Pour le détruire
Bombe de silence et couteau d’argent
Nous mettrons le mal à feu et à sang
Un soleil rouge, un soleil blanc
Nous mettrons le mal à feu et à sang
Un soleil rouge, un soleil blanc
S’ils sont en vie
Si les océans sont toujours vivants
Par-dessus les bois, par-dessus les champs
Un oiseau rouge, un oiseau blanc
Par-dessus les bois, par-dessus les champs
Un oiseau rouge, un oiseau blanc
Un oiseau-lyre
Par-dessus les bois, par-dessus les champs
Qui nous mènera chez le Mal méchant
Pour le détruire
Bombe de silence et couteau d’argent
Nous mettrons le mal à feu et à sang
Un soleil rouge, un soleil blanc
Nous mettrons le mal à feu et à sang
Un soleil rouge, un soleil blanc
Un soleil sombre
Nous mettrons le mal à feu et à sang
Un nuage monte, un autre descend
Un jour sans ombre
Puis nous raserons la ville en passant
Quand nous reviendrons, le cœur triomphant
Un côté rouge, un côté blanc
Quand nous reviendrons, le cœur triomphant
Un côté rouge, un côté blanc
Un côté homme
Quand nous reviendrons, le cœur triomphant
Alors vous direz: «Ce sont nos enfants
Quel est cet homme
Qui les a menés loin de leurs parents?»
Je remonterai sur mon cerf-volant
Un matin rouge, un matin blanc
Nous mettrons le mal à feu et à sang
Un nuage monte, un autre descend
Un jour sans ombre
Puis nous raserons la ville en passant
Quand nous reviendrons, le cœur triomphant
Un côté rouge, un côté blanc
Quand nous reviendrons, le cœur triomphant
Un côté rouge, un côté blanc
Un côté homme
Quand nous reviendrons, le cœur triomphant
Alors vous direz: «Ce sont nos enfants
Quel est cet homme
Qui les a menés loin de leurs parents?»
Je remonterai sur mon cerf-volant
Un matin rouge, un matin blanc
Je remonterai sur mon cerf-volant
Un matin rouge, un matin blanc
Un matin blême
Je remonterai sur mon cerf-volant
Et vous laisserai vos cent mille enfants
Chargés d’eux-mêmes
Pour jeter les dés dans la main du temps
Pour jeter les dés dans la main du temps
Un matin rouge, un matin blanc
Un matin blême
Je remonterai sur mon cerf-volant
Et vous laisserai vos cent mille enfants
Chargés d’eux-mêmes
Pour jeter les dés dans la main du temps
Pour jeter les dés dans la main du temps
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