Paroles de la chanson Les Hommes En Blanc par Ginie Line
Auteurs: Laurent Lescarret
Compositeurs: Yael Naim
Editeurs: Universal Music Publishing
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Paroles de la chanson Les Hommes En Blanc par Ginie Line
Y'a des hommes en blanc autour de moi
Tous les jours ils déambulent et font les cent pas
Oh, je les entends parler tout bas
Mais je te jure, faut pas croire tout ce qu'ils disent sur moi
Je me fous bien de leurs colombes
Des morales et des lois
J'attends que le verdict tombe
Enroulée dans mes draps
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle
Tout le monde fait comme si je n'étais pas là
Qu'est-ce que ça peut bien faire que je parle aux miroirs?
Tous les jours ils déambulent et font les cent pas
Oh, je les entends parler tout bas
Mais je te jure, faut pas croire tout ce qu'ils disent sur moi
Je me fous bien de leurs colombes
Des morales et des lois
J'attends que le verdict tombe
Enroulée dans mes draps
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle
Tout le monde fait comme si je n'étais pas là
Qu'est-ce que ça peut bien faire que je parle aux miroirs?
Les dimanches se suivent et se ressemblent
On court après des cris et des portes qui tremblent
Ici rien n'est comme dans la vie
Les jardins sont rêvés
Même les fleurs nous ont appris
A ne pas les toucher
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle
Je lis des lettres à haute voix
Que tu n'envoies jamais
J'ai écris ton prénom mille fois
Sur les vitres embuées
Et que mon âme
Aille dans les flammes
Si je ne suis que démence
On court après des cris et des portes qui tremblent
Ici rien n'est comme dans la vie
Les jardins sont rêvés
Même les fleurs nous ont appris
A ne pas les toucher
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle
Je lis des lettres à haute voix
Que tu n'envoies jamais
J'ai écris ton prénom mille fois
Sur les vitres embuées
Et que mon âme
Aille dans les flammes
Si je ne suis que démence
Sois dans mon coeur
Je n'ai pas peur
De payer mon innocence
Tous les étés sont meurtriers
Ils ont des parfums d'éther
D'éternité, de jours fériés
Si tu entends mes prières
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle
Je n'ai pas peur
De payer mon innocence
Tous les étés sont meurtriers
Ils ont des parfums d'éther
D'éternité, de jours fériés
Si tu entends mes prières
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisoles
Aux hommes en blanc, arrache-moi
Avant qu'ils me rendent folle
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