Paroles de la chanson Paris Copenhague par Gourouza Josia
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Paroles de la chanson Paris Copenhague par Gourouza Josia
Paris-Copenhague ou Copenhague-Paris, je ne sais plus…
Alors que mes rêves bourgeonnent et puis qu’ils fanent,
A l’heure où mes émotions m’avalent
Le calcul est de croire que les autres m’emplissent.
Et que je ne trouve la paix que lorsqu’on me la prête.
Toujours entre deux feux, au milieu des tempêtes,
Mais je fais de mon mieux
Entre Paris et Copenhague ou Copenhague et Paris.
Et je me rappelle cette phrase que ma mère m’avait soufflé une fois
Alors que mes rêves bourgeonnent et puis qu’ils fanent,
A l’heure où mes émotions m’avalent
Le calcul est de croire que les autres m’emplissent.
Et que je ne trouve la paix que lorsqu’on me la prête.
Toujours entre deux feux, au milieu des tempêtes,
Mais je fais de mon mieux
Entre Paris et Copenhague ou Copenhague et Paris.
Et je me rappelle cette phrase que ma mère m’avait soufflé une fois
T’es partout à la fois, est-ce toi que tu fuis ?
Moi ?
Moi qui gis dans un corps agité sur une Terre si grande
Entravé dans une peau qui s’étend puis qui fond.
Moi qui crie de toutes mes forces les blessures de mon âme,
Mais qui crie sans un son. Que personne ne m’entende.
Moi… Moi qui crie.
Les brefs instants passés n’ont-ils d’importance qu’à mes yeux bientôt clos ?
Alors que signifie tout cela ?
J’ère, en vie, dans la vie qui donne accoutumance
Moi ?
Moi qui gis dans un corps agité sur une Terre si grande
Entravé dans une peau qui s’étend puis qui fond.
Moi qui crie de toutes mes forces les blessures de mon âme,
Mais qui crie sans un son. Que personne ne m’entende.
Moi… Moi qui crie.
Les brefs instants passés n’ont-ils d’importance qu’à mes yeux bientôt clos ?
Alors que signifie tout cela ?
J’ère, en vie, dans la vie qui donne accoutumance
Puis sevré un jour, je péris.
J’ai toujours peur du noir.
J’ai toujours peur d’aimer, de danser, de mal faire
J’ai peur de regretter, j’ai peur de mes erreurs.
Alors je me dirais : « Si seulement j’avais su j’aurais fait cent fois pire ! »
Pourtant, quand le jour meurt
J’ai toujours peur de vivre.
J’ai toujours peur du noir.
J’ai toujours peur d’aimer, de danser, de mal faire
J’ai peur de regretter, j’ai peur de mes erreurs.
Alors je me dirais : « Si seulement j’avais su j’aurais fait cent fois pire ! »
Pourtant, quand le jour meurt
J’ai toujours peur de vivre.
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