Paroles de la chanson Profs par Grégoire
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Paroles de la chanson Profs par Grégoire
nous nous sommes connus de l’été à l’été,
professeurs disparus mais au fond à jamais
car si je parle et j’écris, si je sais qui je suis,
si j’explique et conçois, si ma vie se construit,
si j’ai le coeur qui chante et des mots qui dessinent,
si mon esprit invente, si mes doigts imaginent,
c’est parce que vous avez su nous montrer la voie
et sans vous avoir eus, on ne grandirait pas,
et quand vous aviez tort, oui, vous aviez raison,
professeurs disparus mais au fond à jamais
car si je parle et j’écris, si je sais qui je suis,
si j’explique et conçois, si ma vie se construit,
si j’ai le coeur qui chante et des mots qui dessinent,
si mon esprit invente, si mes doigts imaginent,
c’est parce que vous avez su nous montrer la voie
et sans vous avoir eus, on ne grandirait pas,
et quand vous aviez tort, oui, vous aviez raison,
vous n’étiez que l’effort et nous, un peu trop cons,
et vous gardiez l’espoir vous n’étiez que patience,
au-delà du devoir, vous nous faisiez confiance,
vous avez cru en nous quand personne n’y croyait,
vous pensiez malgré tout qu’il fallait tout donner,
et parfois vous avez remplacé nos parents,
vous nous avez aimés comme on aime son enfant,
on a été ingrats, on a été odieux,
on était arrogants, idiots et capricieux,
et jamais, non, jamais, vous nous laissiez tomber,
oui, jamais, non, jamais, vous nous abandonniez
car c’est inscrit en vous, gravé dans vos entrailles,
et vous gardiez l’espoir vous n’étiez que patience,
au-delà du devoir, vous nous faisiez confiance,
vous avez cru en nous quand personne n’y croyait,
vous pensiez malgré tout qu’il fallait tout donner,
et parfois vous avez remplacé nos parents,
vous nous avez aimés comme on aime son enfant,
on a été ingrats, on a été odieux,
on était arrogants, idiots et capricieux,
et jamais, non, jamais, vous nous laissiez tomber,
oui, jamais, non, jamais, vous nous abandonniez
car c’est inscrit en vous, gravé dans vos entrailles,
envers et contre tout, toujours vaille que vaille
car aider un enfant, c’est aider l’univers,
c’est créer des parents, de meilleurs pères et mères,
il fallait mon enfant pour que je le comprenne,
il fallait mon enfant pour qu’enfin je l’apprenne,
pour que tout soit limpide et clair en une seconde,
votre métier est bien l’un des plus beaux du monde,
nous nous sommes connus de l’été à l’été,
si vite disparus mais au fond à jamais
car aider un enfant, c’est aider l’univers,
c’est créer des parents, de meilleurs pères et mères,
il fallait mon enfant pour que je le comprenne,
il fallait mon enfant pour qu’enfin je l’apprenne,
pour que tout soit limpide et clair en une seconde,
votre métier est bien l’un des plus beaux du monde,
nous nous sommes connus de l’été à l’été,
si vite disparus mais au fond à jamais
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