Paroles de la chanson Couler des jours heureux par Gringe
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Paroles de la chanson Couler des jours heureux par Gringe
Au hasard du destin, je télescope le sien avant qu'il parte
Pourquoi pas faire un bout d'chemin si l'en reste un ?
Deux jouisseurs sans destin, on a refait la nuit et quelques parties d'cartes
Une dernière Flush et puis Tchao Pantin
Souvenirs intenses, du feu dans l'fond d'ses yeux, là, j'ai compris les mots bleus
Bien sûr, l'amour en rouge, c'est démodé
On fait qu'lancer les dés et des triples six en enfer
À Flers, j'me repasse les jours où j'ai fait qu't'aimer à l'envers
De tout depuis l'début, du rire de Léliana, la première fois qu'j'l'ai vue
Pourquoi pas faire un bout d'chemin si l'en reste un ?
Deux jouisseurs sans destin, on a refait la nuit et quelques parties d'cartes
Une dernière Flush et puis Tchao Pantin
Souvenirs intenses, du feu dans l'fond d'ses yeux, là, j'ai compris les mots bleus
Bien sûr, l'amour en rouge, c'est démodé
On fait qu'lancer les dés et des triples six en enfer
À Flers, j'me repasse les jours où j'ai fait qu't'aimer à l'envers
De tout depuis l'début, du rire de Léliana, la première fois qu'j'l'ai vue
Si j'l'aime autant, c'est parce que j't'aime comme une famille
À deux, on s'empêche de penser au pire
Âme sœur, ensemble, on s'améliore
Merci de m'déconstruire sans m'démolir
Ça fait plus d'un automne, le temps a passé
Reste les souvenirs auxquels on semble attachés
Inséparables, en s'emportant, la sangle a cassé
J'suis tombé dans l'vide, j'ai même failli mourir d'ennui
Brûlant mon corps, une immense boule de feu que je sens s'éloigner
Jours après jours, je coule des jours heureux, j'apprends à les noyer
À deux, on s'empêche de penser au pire
Âme sœur, ensemble, on s'améliore
Merci de m'déconstruire sans m'démolir
Ça fait plus d'un automne, le temps a passé
Reste les souvenirs auxquels on semble attachés
Inséparables, en s'emportant, la sangle a cassé
J'suis tombé dans l'vide, j'ai même failli mourir d'ennui
Brûlant mon corps, une immense boule de feu que je sens s'éloigner
Jours après jours, je coule des jours heureux, j'apprends à les noyer
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