Paroles de la chanson Deux Enfants par Grosbois Onesime
Auteurs: Castel Serge
Compositeurs: Marc Fontenoy
Editeurs: Beuscher Arpege
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Paroles de la chanson Deux Enfants par Grosbois Onesime
DEUX ENFANTS
Ce n’était rien que nous deux enfants
Que deux enfants le cœur battant
Que deux enfants qui n’avaient rien
Que leur amour pour lendemain !
Ce n’était rien que deux enfants
Qui se saoulaient de leur printemps
Et qui allaient vers leur destin
Les yeux fermé main dans la main.
Et la rue dansait sous leurs pas
Et la vie chantait dans leurs bras
Et les gens regardaient parfois
Ces enfants qui n’les voyaient pas.
Deux enfants marchant sans savoir
Ce n’était rien que nous deux enfants
Que deux enfants le cœur battant
Que deux enfants qui n’avaient rien
Que leur amour pour lendemain !
Ce n’était rien que deux enfants
Qui se saoulaient de leur printemps
Et qui allaient vers leur destin
Les yeux fermé main dans la main.
Et la rue dansait sous leurs pas
Et la vie chantait dans leurs bras
Et les gens regardaient parfois
Ces enfants qui n’les voyaient pas.
Deux enfants marchant sans savoir
Où tous deux dormiraient ce soir :
Le corps las d’avoir tant cherché
Une étoile au cœur des pavés
« Tu verras comm’ ce sera beau
Cette nuit mon amour !
On couch’ra dans un grand château
Flanqué de mille tours ! »
Et la rue dansait sous leur pas
Et la vie chantait dans leurs bras
Et les gens regardaient parfois
Ces enfants qui n’les voyaient pas !
Ce n’était rien que nous deux enfants
Dans un hôtel au quatre vents
Un pauvre hôtel d’un vieux faubourg
Le beau château de leurs amours
Ce n’était rien leur paradis
Un lit de fer, un mur tout gris
Le corps las d’avoir tant cherché
Une étoile au cœur des pavés
« Tu verras comm’ ce sera beau
Cette nuit mon amour !
On couch’ra dans un grand château
Flanqué de mille tours ! »
Et la rue dansait sous leur pas
Et la vie chantait dans leurs bras
Et les gens regardaient parfois
Ces enfants qui n’les voyaient pas !
Ce n’était rien que nous deux enfants
Dans un hôtel au quatre vents
Un pauvre hôtel d’un vieux faubourg
Le beau château de leurs amours
Ce n’était rien leur paradis
Un lit de fer, un mur tout gris
Où se perdaient les fleurs fanées
D’un papier peint décoloré.
Mais l’amour éclairait tout ça
Et la chambre éclatait de joie
Et le chant d’un oiseau des toits
Riait mieux qu’un Avril au bois.
Et bien loin de ce monde gris
Deux enfants s’en dormaient blottis
En mordant aux fruits du bonheur
En rêvant à des champs de fleurs !
« Tu verras comme il fera beau
Pour nous deux mon amour !
Le soleil, sur le grand château
Brill’ra toujours toujours… »
Et les yeux fermés ils rêvaient
Et leurs mains d’enfants se cherchaient
Et la nuit se moquait tout bas
D’un papier peint décoloré.
Mais l’amour éclairait tout ça
Et la chambre éclatait de joie
Et le chant d’un oiseau des toits
Riait mieux qu’un Avril au bois.
Et bien loin de ce monde gris
Deux enfants s’en dormaient blottis
En mordant aux fruits du bonheur
En rêvant à des champs de fleurs !
« Tu verras comme il fera beau
Pour nous deux mon amour !
Le soleil, sur le grand château
Brill’ra toujours toujours… »
Et les yeux fermés ils rêvaient
Et leurs mains d’enfants se cherchaient
Et la nuit se moquait tout bas
De ces goss’s qui ne savait pas !
Ce que la vie allait fair’ de tout ça…
Ce que la vie allait fair’ de tout ça…
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