Paroles de la chanson Les Temps Sont Doux par Guy Béart
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Paroles de la chanson Les Temps Sont Doux par Guy Béart
Une chanson d'amour
Dans cette fausse douceur des "endormis du temps présent", l'esclavage par les objets
Et les "âmes dures" qui essayent de vivre de la passion
J'ai voulu traverser la rue
Simplement pour aller chez toi
Mais la cohorte et la cohue
Bloquaient les chemins jusqu'aux toits
Il fallait creuser vies et viandes
Il fallait piétiner des corps
Et ça, que les hommes m'entendent
Je ne veux pas le vivre encor
Les temps sont doux
Dans cette fausse douceur des "endormis du temps présent", l'esclavage par les objets
Et les "âmes dures" qui essayent de vivre de la passion
J'ai voulu traverser la rue
Simplement pour aller chez toi
Mais la cohorte et la cohue
Bloquaient les chemins jusqu'aux toits
Il fallait creuser vies et viandes
Il fallait piétiner des corps
Et ça, que les hommes m'entendent
Je ne veux pas le vivre encor
Les temps sont doux
Aux âmes dures
Il y a trop longtemps que je dure
Les temps sont doux
Pour l'âge d'or
Il y a trop longtemps que je dors
Vers ta chambre enfin je m'envole
Je tombe alors sur des gisants
Je serre la main gourde et molle
Des endormis du temps présent
Puis j'ai bousculé cette bande
Qui n'était plus que du décor
Et ça, que les hommes m'entendent
Je ne veux pas le vivre encor
Les temps sont doux
Aux âmes dures
Il y a trop longtemps que je dure
Il y a trop longtemps que je dure
Les temps sont doux
Pour l'âge d'or
Il y a trop longtemps que je dors
Vers ta chambre enfin je m'envole
Je tombe alors sur des gisants
Je serre la main gourde et molle
Des endormis du temps présent
Puis j'ai bousculé cette bande
Qui n'était plus que du décor
Et ça, que les hommes m'entendent
Je ne veux pas le vivre encor
Les temps sont doux
Aux âmes dures
Il y a trop longtemps que je dure
Les temps sont doux
Pour l'âge d'or
Il y a trop longtemps que je dors
Il m'a fallu baisser l'échine
Pour t'acheter des objets neufs
Dans le troupeau du Dieu Machine
Parmi les bœufs devenu bœuf
Je sais déjà que l'on marchande
Mon âme au grand marché confort
Et ça, que les hommes m'entendent
Je ne veux pas le vivre encor
J'ai tout cassé d'un coup de tête
Et j'ai fui dans les coins perdus
Et là j'ai vu plantes et bêtes
Suivre aussi les chemins tordus
Dans l'air du ciel devenu cendre
Pour l'âge d'or
Il y a trop longtemps que je dors
Il m'a fallu baisser l'échine
Pour t'acheter des objets neufs
Dans le troupeau du Dieu Machine
Parmi les bœufs devenu bœuf
Je sais déjà que l'on marchande
Mon âme au grand marché confort
Et ça, que les hommes m'entendent
Je ne veux pas le vivre encor
J'ai tout cassé d'un coup de tête
Et j'ai fui dans les coins perdus
Et là j'ai vu plantes et bêtes
Suivre aussi les chemins tordus
Dans l'air du ciel devenu cendre
J'ai beau hurler encor plus fort
Ni toi ni les arbres n'entendent
Ils dorment tous, ivres ou morts
Les temps sont doux
Aux âmes dures
Il y a trop longtemps que je dure
Le ciel est flou
Où est l'aurore ?
Allons-nous renverser le sort ?
Ni toi ni les arbres n'entendent
Ils dorment tous, ivres ou morts
Les temps sont doux
Aux âmes dures
Il y a trop longtemps que je dure
Le ciel est flou
Où est l'aurore ?
Allons-nous renverser le sort ?
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