Paroles de la chanson La Fuite par H-Tône
Chanson manquante pour "H-Tône" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "La Fuite"
Proposer une correction des paroles de "La Fuite"
Paroles de la chanson La Fuite par H-Tône
Spéciale dédicace aux portes de sortie qui n'sont p't-être rien d'autre que des portes d'entrée... Question d'perceptions, questions d'portes. Les portes de la horde
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ou est-ce qu'on attend plus ?
Et ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ou est-ce qu'on attend plus ?
Et ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ? Mais qu'a-t-on attendu ?
Je dévie, me défile et me sers du vide car je me sais débile
J'opère ainsi, mon avis, je le fuis. M'espère docile et dans la file
Tant la fuite m'aide, je m'invite dans ma p'tite tête et je la vide. Je l'affûte même. Je n'envie que les types blêmes, sans envie, sans éthique même et qui s'plaignent à peine
Mais pleine est ma télé, j'aime en mater les chaînes
Haine vaine. En marteler peine. Les attelés mènent
Il faut s'y faire, pourquoi tu vocifères ? Mieux vaut s'y plaire. Voici l'ère des dociles, fiers, jusqu'au cimetière
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ? Mais qu'a-t-on attendu ?
Je dévie, me défile et me sers du vide car je me sais débile
J'opère ainsi, mon avis, je le fuis. M'espère docile et dans la file
Tant la fuite m'aide, je m'invite dans ma p'tite tête et je la vide. Je l'affûte même. Je n'envie que les types blêmes, sans envie, sans éthique même et qui s'plaignent à peine
Mais pleine est ma télé, j'aime en mater les chaînes
Haine vaine. En marteler peine. Les attelés mènent
Il faut s'y faire, pourquoi tu vocifères ? Mieux vaut s'y plaire. Voici l'ère des dociles, fiers, jusqu'au cimetière
Aussi me taire s'y fait instinct de survie. Que puis-je y faire ? Tant pis, j'y perds. Oui mais, si je perds, je vis
Fuis mes pairs, fuis mais suis, j'erre. C'qui m'est cher
Me fait serf quand c'est la peur qui me dit que faire
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ? Mais qu'a-t-on attendu ?
Attends le vent, combattant le temps. Courbant tant le dos qu'on ne peut défendre
Fuis mes pairs, fuis mais suis, j'erre. C'qui m'est cher
Me fait serf quand c'est la peur qui me dit que faire
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ? Mais qu'a-t-on attendu ?
Attends le vent, combattant le temps. Courbant tant le dos qu'on ne peut défendre
Si peu ont la force de. On avance peu mais peut si on en veut. Seulement "je"
Nous voue-t-il à rester là ? Joue-t-il avec les larmes ?
Où fuie le "nous" qui de nous s'plie à coup d'"ils"
Écoute-t-il encore nos cris ? Compte-t-il encore nos crimes ? S'fout-il du sort au mépris de tout, puisque mort depuis
Lors que, fort, on y mit un terme. En limitant, s'fermant des portes de sorte
Qu'on omet d'se connaître. Reconnais que, c'qu'on est, on y fait du tort
Et dors donc. Ferme les yeux. Ferme les deux
Comme les morts font, car qui voit peu s'avère aller mieux
Du mieux, sort de tombe. Fier de tes vœux, fers d'où t'es, vieux. Rêve
Nous voue-t-il à rester là ? Joue-t-il avec les larmes ?
Où fuie le "nous" qui de nous s'plie à coup d'"ils"
Écoute-t-il encore nos cris ? Compte-t-il encore nos crimes ? S'fout-il du sort au mépris de tout, puisque mort depuis
Lors que, fort, on y mit un terme. En limitant, s'fermant des portes de sorte
Qu'on omet d'se connaître. Reconnais que, c'qu'on est, on y fait du tort
Et dors donc. Ferme les yeux. Ferme les deux
Comme les morts font, car qui voit peu s'avère aller mieux
Du mieux, sort de tombe. Fier de tes vœux, fers d'où t'es, vieux. Rêve
Encore qu'ton air de fiévreux serve. Ou crève
Dors donc. Ferme les yeux. Ferme les deux
Comme les morts font, car qui voit peu s'avère aller mieux
Du mieux, sort de tombe. Fier de tes vœux, fers d'où t'es, vieux. Rêve
Encore qu'ton air de fiévreux serve. Ou crève
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ? Mais qu'a-t-on attendu ?
Dors donc. Ferme les yeux. Ferme les deux
Comme les morts font, car qui voit peu s'avère aller mieux
Du mieux, sort de tombe. Fier de tes vœux, fers d'où t'es, vieux. Rêve
Encore qu'ton air de fiévreux serve. Ou crève
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus. Le sais-tu ?
Où va mener la suite ? Est-ce qu'on statue dessus ?
Est-ce qu'on s'tâte au su de c'qu'on rate ou lâche ainsi ?
Est-ce qu'on lâche un "si", lâche, on signe ? Mais qu'a-t-on attendu ?
Hécatombe entendu, déclarée "carton". M'entends-tu
Décarrer ? Cœurs et carnes ont maintes fois crié "gare", au vu et su des tarés
Vu d'ici, es-tu déçu ? Qu'est-ce qu'tu serais sur le tas ?
Avec des "si", on se ferait sûr, mais le ferait sur le tard
Le vrai ne s'hurle pas. Ne se freine à bout d'bras
Ceux qui feignent en conviennent qu'à terme ils lui cèdent sous l'poids
S'il sied n'compte pas. Qu'il nous gêne, qu'on l'aime au comble, in fine
Et mène les mêmes combats, qui le mènent aux mêmes tombes
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus
Décarrer ? Cœurs et carnes ont maintes fois crié "gare", au vu et su des tarés
Vu d'ici, es-tu déçu ? Qu'est-ce qu'tu serais sur le tas ?
Avec des "si", on se ferait sûr, mais le ferait sur le tard
Le vrai ne s'hurle pas. Ne se freine à bout d'bras
Ceux qui feignent en conviennent qu'à terme ils lui cèdent sous l'poids
S'il sied n'compte pas. Qu'il nous gêne, qu'on l'aime au comble, in fine
Et mène les mêmes combats, qui le mènent aux mêmes tombes
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus
Je sais. Ai-je toujours choisi la fuite ?
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus
Je sais. Ai-je toujours choisi la fuite ?
Ai-je toujours choisi la fuite ? Je n'sais plus
Je sais. Ai-je toujours choisi la fuite ?
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)