Paroles de la chanson Le cœur par Hartigan
Chanson manquante pour "Hartigan" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Le cœur"
Proposer une correction des paroles de "Le cœur"
Paroles de la chanson Le cœur par Hartigan
J'appartiens au plus triste des corps d'élite
Je n'aime pas les discours paternalistes
Personne ne fera la pose écorché vif
Chaque nuit, mes cauchemars se matérialisent
Que ma raison reste mon seul arbitre
Ce monde m'a prouvé que le diable existe
Aussi vrai que nos cœurs palpitent
Le genre humain est une facétie
Les jeux sont faits à en croire les autres
Tout ce qui nous entoure nous est toxique
J'partagerai ma tombe avec le poids de mes fautes
J'suis peut-être qu'un ingrat qui joue les pauvres types
Avoir le cœur froid comme l'Antarctique
Incapable d'éprouver la moindre empathie
La haine est plus célèbre que Bruce Springsteen
Je n'aime pas les discours paternalistes
Personne ne fera la pose écorché vif
Chaque nuit, mes cauchemars se matérialisent
Que ma raison reste mon seul arbitre
Ce monde m'a prouvé que le diable existe
Aussi vrai que nos cœurs palpitent
Le genre humain est une facétie
Les jeux sont faits à en croire les autres
Tout ce qui nous entoure nous est toxique
J'partagerai ma tombe avec le poids de mes fautes
J'suis peut-être qu'un ingrat qui joue les pauvres types
Avoir le cœur froid comme l'Antarctique
Incapable d'éprouver la moindre empathie
La haine est plus célèbre que Bruce Springsteen
Et je sais que les apparences sont toutes fictives
Et nos vies en sont coutumières
On nous fait croire que la merde a le goût du miel
On ignore pas que l'oseille nous est nuisible
Rien ne change une vie comme une somme à huit chiffres
La convoitise reste dans l'air du temps
Il est vrai que cette époque est perturbante
En bref, plutôt crever que de perdre son cœur
Une vie ne suffirait à en faire son deuil
Finir seul reste ma vraie hantise
Y a que les pleurs de ma mère qui m'anéantissent
On est bon qu'à nous compromettre
Même la mort n'est plus la meilleure dans son domaine
Et nos vies en sont coutumières
On nous fait croire que la merde a le goût du miel
On ignore pas que l'oseille nous est nuisible
Rien ne change une vie comme une somme à huit chiffres
La convoitise reste dans l'air du temps
Il est vrai que cette époque est perturbante
En bref, plutôt crever que de perdre son cœur
Une vie ne suffirait à en faire son deuil
Finir seul reste ma vraie hantise
Y a que les pleurs de ma mère qui m'anéantissent
On est bon qu'à nous compromettre
Même la mort n'est plus la meilleure dans son domaine
Ce sont nos feux qu'ils éteignent
Et j'me sens comme sous le coup d'une fatwa
J'avais choisi mon camp sans savoir qui j'étais
Plus rien ne me sortira du purgatoire
Et j'me sens comme sous le coup d'une fatwa
J'avais choisi mon camp sans savoir qui j'étais
Plus rien ne me sortira du purgatoire
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)
