Paroles de la chanson Quotidien (Ft. Ham) par Hartigan
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Paroles de la chanson Quotidien (Ft. Ham) par Hartigan
Enivrés par la connerie, on soufflera tous dans l'éthylotest
J'serai pas choqué de voir Nabilla convoiter le prix Nobel
On fait l'tri entre sornettes et sortilèges
Ce quotidien a rendu tous mes écrits mortifères
Ils nous répètent qu'on est tous égaux à l'origine
Dans cette vie j'connais que la mort qui fera pas de favoritisme
N'espérant plus cicatriser tant la blessure est profonde
Même les beaux jours, les vautours planent au dessus des colombes
Je n'attends pas d'approbation
Qui rappellera aux miens que je les aime si le temps qui passe ne m'en laisse pas l'occasion
J'serai pas choqué de voir Nabilla convoiter le prix Nobel
On fait l'tri entre sornettes et sortilèges
Ce quotidien a rendu tous mes écrits mortifères
Ils nous répètent qu'on est tous égaux à l'origine
Dans cette vie j'connais que la mort qui fera pas de favoritisme
N'espérant plus cicatriser tant la blessure est profonde
Même les beaux jours, les vautours planent au dessus des colombes
Je n'attends pas d'approbation
Qui rappellera aux miens que je les aime si le temps qui passe ne m'en laisse pas l'occasion
Mes pamphlets sentent l'herbe, fendent l'air
En clair, les meilleurs partent en premier
Et moi j'crains de finir centenaire
Ce monde se moque de mon désaccord
Si tu m'surprends prendre mon pouls, j'vérifie juste si j'suis pas déjà mort
Mon mal de vivre, je n'ai pas su en guérir
Tiens-toi pour dit que la haine sera la dernière à surenchérir
Tout en sachant qu'ils nous vampirisent de la sorte
J'fais un pas de plus vers l'enfer à chaque centilitre que j'absorbe
J'ai mon art à forger, j'dépeins l'décor, j'ai l'âme écorchée
Chez moi, l'espoir s'est fait égorger
Nuits blanches et écrits illisibles
J'deviens trop vieux pour ces conneries, j'suis l'Dani Glover des lyricistes
En clair, les meilleurs partent en premier
Et moi j'crains de finir centenaire
Ce monde se moque de mon désaccord
Si tu m'surprends prendre mon pouls, j'vérifie juste si j'suis pas déjà mort
Mon mal de vivre, je n'ai pas su en guérir
Tiens-toi pour dit que la haine sera la dernière à surenchérir
Tout en sachant qu'ils nous vampirisent de la sorte
J'fais un pas de plus vers l'enfer à chaque centilitre que j'absorbe
J'ai mon art à forger, j'dépeins l'décor, j'ai l'âme écorchée
Chez moi, l'espoir s'est fait égorger
Nuits blanches et écrits illisibles
J'deviens trop vieux pour ces conneries, j'suis l'Dani Glover des lyricistes
Et les rivaux mourront de rancunes
Au final, même les bonnes sœurs l'auront dans l'...
C'est pas pour honorer vos putes que nos verres se lèvent
Ma façon de prendre la vie est brutale
J'aurai toujours plus de morale qu'un mercenaire
Mon quotidien en est la preuve irréfutable
Regarde ce miroir et dis moi quel homme penses-tu être
C'est pas comme si les principes fournissaient du taff
Puis ce monde n'a jamais été un sanctuaire
Je sais déjà dans quel trou je finirai plus tard
On ignore tous que notre orgueil nous perdra
Dans ces arènes où les plus faibles apprennent à vivre
Au final, même les bonnes sœurs l'auront dans l'...
C'est pas pour honorer vos putes que nos verres se lèvent
Ma façon de prendre la vie est brutale
J'aurai toujours plus de morale qu'un mercenaire
Mon quotidien en est la preuve irréfutable
Regarde ce miroir et dis moi quel homme penses-tu être
C'est pas comme si les principes fournissaient du taff
Puis ce monde n'a jamais été un sanctuaire
Je sais déjà dans quel trou je finirai plus tard
On ignore tous que notre orgueil nous perdra
Dans ces arènes où les plus faibles apprennent à vivre
J'me réveille paumé en crachant des trucs verdâtres
Et j'pars en quête de pénombre et d'adrénaline
On est loin de l'océan et des grands espaces
De la rixe de quartiers aux rites mortuaires
Tout ce que l'on sait de la colère c'est qu'elle est ancestrale
Et qu'elle a vu Lucifer prendre forme humaine
Si on accepte la noirceur c'est pour s'y perdre
J'ai envie de bordel, je m'offre un dernier tour d'ivresse
La perdition aura quand même laissé des traces
Puisque les voix du salut sont impénétrables
Et j'pars en quête de pénombre et d'adrénaline
On est loin de l'océan et des grands espaces
De la rixe de quartiers aux rites mortuaires
Tout ce que l'on sait de la colère c'est qu'elle est ancestrale
Et qu'elle a vu Lucifer prendre forme humaine
Si on accepte la noirceur c'est pour s'y perdre
J'ai envie de bordel, je m'offre un dernier tour d'ivresse
La perdition aura quand même laissé des traces
Puisque les voix du salut sont impénétrables
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