Paroles de la chanson C'est tout un art par L'Hexaler
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Paroles de la chanson C'est tout un art par L'Hexaler
L’hexaler, tout en or, moi j’en porte l’étendard
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
C’est tout un art
Y’a rien qui se passe dans les parages, toujours les mêmes zonards
Me compare pas à un mec d’honneur et une poignée d’dollars
L’Hexaler, la fine équipe brodée sur le dossard
T’sais, on est pas venu arracher leur oscar
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
C’est tout un art
Y’a rien qui se passe dans les parages, toujours les mêmes zonards
Me compare pas à un mec d’honneur et une poignée d’dollars
L’Hexaler, la fine équipe brodée sur le dossard
T’sais, on est pas venu arracher leur oscar
Vas-y dis-moi combien de milliards sont pris pour des codes-barres ?
Entre les filles qui font l’trottoir et les criminels notoires
J’partirai quand il faudra, ni trop tôt ni trop tard
Le savoir est une arme, je suis fidèle à mon art
Des maillons d’la chaîne aux politicards avec de gros cigares
Y’a trop d’ignares et trop de braves dans les corbillards
J’incarne les mômes bien plus que Marion Cotillard
J’apparais comme la clarté là où tout est trop bizarre
On est sous pression et ça ne se compte pas en déci barres
Entre les filles qui font l’trottoir et les criminels notoires
J’partirai quand il faudra, ni trop tôt ni trop tard
Le savoir est une arme, je suis fidèle à mon art
Des maillons d’la chaîne aux politicards avec de gros cigares
Y’a trop d’ignares et trop de braves dans les corbillards
J’incarne les mômes bien plus que Marion Cotillard
J’apparais comme la clarté là où tout est trop bizarre
On est sous pression et ça ne se compte pas en déci barres
Dérisoire, le monde se bombarde pour des territoires
Dans le couloir de la mort ou dans la course au pouvoir
Etre débrouillard dans le brouillard ou broyer du noir
Pleins de cadavres qui larmoient dans l’armoire
Envie de laisser ma marque avant de larguer les amarres
Dans les play-offs, sur playground, je graverais les mémoires
Moi, j’ai jamais laissé place au désespoir
Et c’est pas l’fruit du hasard que ma plume soit contradictoire
Avec ce mouvement de funambule qui file sur le fil du rasoir
Se disent tous : "Les biftons, j’vais bien finir par les voir
Dans le couloir de la mort ou dans la course au pouvoir
Etre débrouillard dans le brouillard ou broyer du noir
Pleins de cadavres qui larmoient dans l’armoire
Envie de laisser ma marque avant de larguer les amarres
Dans les play-offs, sur playground, je graverais les mémoires
Moi, j’ai jamais laissé place au désespoir
Et c’est pas l’fruit du hasard que ma plume soit contradictoire
Avec ce mouvement de funambule qui file sur le fil du rasoir
Se disent tous : "Les biftons, j’vais bien finir par les voir
Puis j’hésite pas, j’me barre, squatter les îles Baléares"
Bas-les-pattes, moi je représente tous ceux mis à l’écart
Comment déclarer l’armistice où même les familles se séparent
Garde en tête qu’on arrive à rien sans y croire
4100 histoires dans c’t’époque d’MC’s transitoires
C’est tout un art, l’hexaler, tout en or, moi j’en porte l’étendard
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
Bas-les-pattes, moi je représente tous ceux mis à l’écart
Comment déclarer l’armistice où même les familles se séparent
Garde en tête qu’on arrive à rien sans y croire
4100 histoires dans c’t’époque d’MC’s transitoires
C’est tout un art, l’hexaler, tout en or, moi j’en porte l’étendard
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
C’est tout un art
Ouais, loin de l’imaginaire, mon rap est marginal
Sans revenu salarial, discours martial
J’ai un stock plein sous ma carcasse, j’ai le gros arsenal
Quand la liberté s’apparente au milieu carcéral
Se tenir à carreau, maintenir son karma
Soutenir son fardeau, contenir ses larmes
Le stylo dans la main, j’ai le son qui chie des barreaux
Le mic’ au fond du larynx qui récite la bonne parole
La faute est humaine mais qui te pardonne ?
La barre est mise très haute pour faire honneur à la daronne
Les potes de la Haute-Garonne, les soirées près de faro
Avec mon frère de Paris, du sud au nord de l’Hexagone
Se mettre au parfum, semer l’arôme
Mes écrits recherchés comme Bonnie Parker et Clyde Barrow
418 ou le dernier rempart des miens
Entre le carpe diem et l’esprit cartésien
Le mental de spartiate, à l’instar de Don Casbale
Mon armure, un pare-balle, l’atmosphère palpable
Parle bien ou parle pas
Destiné à cartonner autant que mes frères d’armes
Qu’on nous bénisse comme Vaya Bacari
La petite Clara, Marie, Stéphanie, la fine équipe
Avec mon frère de Paris, du sud au nord de l’Hexagone
Se mettre au parfum, semer l’arôme
Mes écrits recherchés comme Bonnie Parker et Clyde Barrow
418 ou le dernier rempart des miens
Entre le carpe diem et l’esprit cartésien
Le mental de spartiate, à l’instar de Don Casbale
Mon armure, un pare-balle, l’atmosphère palpable
Parle bien ou parle pas
Destiné à cartonner autant que mes frères d’armes
Qu’on nous bénisse comme Vaya Bacari
La petite Clara, Marie, Stéphanie, la fine équipe
Nous on partage tout à l’heure où les temps sont arides
Les avant-gardistes ou les savants d’la rime
Mais ça les arrangerait que je connaisse la carence
Ou bien que je rentre dans le monde des apparences
Et jusqu’au dernier round, la vie reste arrogante
L’effet boomerang où l’arroseur s’arrosant
Rien à foutre de leurs vies de palmarès
Je maîtrise l’alphabet, je m’accapare des 26 lettres
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
Dans ma cité ardente, j’ai plus d’une cartouche à mon art
Les avant-gardistes ou les savants d’la rime
Mais ça les arrangerait que je connaisse la carence
Ou bien que je rentre dans le monde des apparences
Et jusqu’au dernier round, la vie reste arrogante
L’effet boomerang où l’arroseur s’arrosant
Rien à foutre de leurs vies de palmarès
Je maîtrise l’alphabet, je m’accapare des 26 lettres
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
Dans ma cité ardente, j’ai plus d’une cartouche à mon art
C’est tout un art, l’hexaler, tout en or, moi j’en porte l’étendard
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
C’est tout un art, l’hexaler, tout en or, moi j’en porte l’étendard
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
C’est tout un art, l’hexaler, tout en or, moi j’en porte l’étendard
A cent mille bornes des vantards
Rien à foutre de l’argent, mon esprit a le dos large
De mes paroles à mes écrits, je vis dans la peau de l’art
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