Paroles de la chanson Trou par Hippocampe Fou
Chanson manquante pour "Hippocampe Fou" ? Proposer les paroles
Proposer une correction des paroles de "Trou"
Proposer une correction des paroles de "Trou"
Paroles de la chanson Trou par Hippocampe Fou
Bienvenue dans mon terrier
Quand j'hiberne, tous les jours sont fériés
De la weed sèche dans mon herbier
Maître Renard me l'a livrée à l'insu des fermiers
Quand j'me creuse la tête, j'fourmille d'idées
C'est le fourbi dans l'four-grill où cuisent de savoureuses maquettes
J'ai l'tournis, étourdi, pour ne pas dire 'fonce-dé'
J'défie les blaireaux qui me toisent et leurs sourcils froncés
Dans l'underground, j'ai fait mon trou
Encore debout au troisième round, j'enfonce le clou
Le vent en poupe, un hippocampe comme figure de proue
Quand j'hiberne, tous les jours sont fériés
De la weed sèche dans mon herbier
Maître Renard me l'a livrée à l'insu des fermiers
Quand j'me creuse la tête, j'fourmille d'idées
C'est le fourbi dans l'four-grill où cuisent de savoureuses maquettes
J'ai l'tournis, étourdi, pour ne pas dire 'fonce-dé'
J'défie les blaireaux qui me toisent et leurs sourcils froncés
Dans l'underground, j'ai fait mon trou
Encore debout au troisième round, j'enfonce le clou
Le vent en poupe, un hippocampe comme figure de proue
Pour gagner ma croûte, je n'travaille pas si dur, je joue
À cache-cache avec les créatures de Dante et Kafka
J'caresse l'une des trois têtes de cerbère qui ronge des carcasses
De chérubins damnés dont planent encore les voix de castras
L'été, Hadès me prête sa belle villa dans le Tartare
Cru dans mes propos, je cuis sous les projos
J'veux juste amuser la galerie, faire cogiter les bobos
Les aristos, les prolos, les libéraux, les gaugaux
Les voir s'agiter ensemble et communier lors d'un pogo
L'art nourrit, unit en temps d'crise
À cache-cache avec les créatures de Dante et Kafka
J'caresse l'une des trois têtes de cerbère qui ronge des carcasses
De chérubins damnés dont planent encore les voix de castras
L'été, Hadès me prête sa belle villa dans le Tartare
Cru dans mes propos, je cuis sous les projos
J'veux juste amuser la galerie, faire cogiter les bobos
Les aristos, les prolos, les libéraux, les gaugaux
Les voir s'agiter ensemble et communier lors d'un pogo
L'art nourrit, unit en temps d'crise
J'envoie du bois pour épouser ma vie en dents d'scie
Retrouve-moi dans trente piges à poil en Birckenstock
Sous une plage du Cap d'Agde, "Guttentag Herr Biedenbrock"
Oui, j'ai des copains sous terre, jamais 'du-per'
Car j'ai du flair, j'enfouis ma joie, comme Isabelle Huppert
Je fouine sur le net à la recherche d'une belette
Quand j'en trouve une, je pousse des cris de suricate alerté
J'décalotte délicatement mon rat-taupe nu ; [?] mortel, on dit qu'un vampire l'a mordu
Je vais droit au but en déballant ma vie tordue ; j'rêve éveillé donc, j'avoue, je n'dors plus
Fouisseur, je jouis seul en ficelant de ruisselants
Retrouve-moi dans trente piges à poil en Birckenstock
Sous une plage du Cap d'Agde, "Guttentag Herr Biedenbrock"
Oui, j'ai des copains sous terre, jamais 'du-per'
Car j'ai du flair, j'enfouis ma joie, comme Isabelle Huppert
Je fouine sur le net à la recherche d'une belette
Quand j'en trouve une, je pousse des cris de suricate alerté
J'décalotte délicatement mon rat-taupe nu ; [?] mortel, on dit qu'un vampire l'a mordu
Je vais droit au but en déballant ma vie tordue ; j'rêve éveillé donc, j'avoue, je n'dors plus
Fouisseur, je jouis seul en ficelant de ruisselants
Écrits, semant l'épuisement, j'ai ceux qui me suivent depuis si longtemps
Autour de moi, y'a des cercueils qui s'effritent
Y'a les squelettes d'ex mecs obèses qui ont brisé l'omerta
Y'a des fossiles disséminés, mes vers qui s'excitent
J'ai l'amertume d'une pelure d'agrume, j'perce des tunnels, comme Bertha
Mais y'a toujours une lueur dans mon foyer
Laissez-moi vous choyer, concocter des potions pour vous soigner
Goûtez ma bonne soupe de magma glacé
Mes infusions de racines pour digérer le passé
Dans mon esprit, c'est l'anarchie, pas un royaume
Des images s'entrechoquent faisant l'effet d'un chaud tord-boyaux
J'ai mangé le monde, recraché le noyau
Autour de moi, y'a des cercueils qui s'effritent
Y'a les squelettes d'ex mecs obèses qui ont brisé l'omerta
Y'a des fossiles disséminés, mes vers qui s'excitent
J'ai l'amertume d'une pelure d'agrume, j'perce des tunnels, comme Bertha
Mais y'a toujours une lueur dans mon foyer
Laissez-moi vous choyer, concocter des potions pour vous soigner
Goûtez ma bonne soupe de magma glacé
Mes infusions de racines pour digérer le passé
Dans mon esprit, c'est l'anarchie, pas un royaume
Des images s'entrechoquent faisant l'effet d'un chaud tord-boyaux
J'ai mangé le monde, recraché le noyau
J'l'ai planté dans un trou noir, j'm'en vais cueillir quelques joyaux
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Trou story
Dans ma maison sous terre
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Allez, gratte, gratte, gratte, allez, creuse
Trou story
Dans ma maison sous terre
Paroles.net dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique (SEAM)