Paroles de la chanson Le début de notre monde par HK
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Paroles de la chanson Le début de notre monde par HK
C'est la fin de leur monde, le voilà qui chancelle
N'attendons pas qu'il tombe pour voler de nos propres ailes
Le plus beau des voyages, un aller sans retour
Sans larmes et sans bagages, sans errance et sans détour
À l'heure du grand départ, délestés de nos peurs
Voyez dans nos regards ce que racontent nos cœurs
Nous refaisons l'histoire, recommençons encore
Chérissant cette Terre avec laquelle nous faisons corps
N'attendons pas qu'il tombe pour voler de nos propres ailes
Le plus beau des voyages, un aller sans retour
Sans larmes et sans bagages, sans errance et sans détour
À l'heure du grand départ, délestés de nos peurs
Voyez dans nos regards ce que racontent nos cœurs
Nous refaisons l'histoire, recommençons encore
Chérissant cette Terre avec laquelle nous faisons corps
C'est le début de notre monde !
Le leur déjà n'est que poussière
Chaque minute, chaque seconde
Âmes libres et vagabondes
Contaminons la Terre entière
Par les petits chemins, plus qu'il n'était possible
Nous avons tendu la main à ceux qui nous prenaient pour cible
Par le temps qui revient et par celui qui passe
Nous bâtissons demain, puisqu' aujourd'hui est une impasse
De l'aurore au couchant, par-delà les remparts
Dans nos villes et dans nos champs, nous sèmerons l'espoir
Guetterons le printemps des âmes fraternelles
Le leur déjà n'est que poussière
Chaque minute, chaque seconde
Âmes libres et vagabondes
Contaminons la Terre entière
Par les petits chemins, plus qu'il n'était possible
Nous avons tendu la main à ceux qui nous prenaient pour cible
Par le temps qui revient et par celui qui passe
Nous bâtissons demain, puisqu' aujourd'hui est une impasse
De l'aurore au couchant, par-delà les remparts
Dans nos villes et dans nos champs, nous sèmerons l'espoir
Guetterons le printemps des âmes fraternelles
Et les graines d'antan, et le chant des abeilles
C'est le début de notre monde !
Le leur déjà n'est que poussière
Chaque minute, chaque seconde
Âmes libres et vagabondes
Contaminons la Terre entière
Au crépuscule de l'empire, vanité des temps anciens
Ils nous ont laissé partir, pour eux nous n'étions rien
Que de pauvres gens, sans armes et sans argent
Qui ne rentreraient pas trop tard pour le souper du soir
Mais depuis le temps s'étire et nous vivons heureux
C'est le début de notre monde !
Le leur déjà n'est que poussière
Chaque minute, chaque seconde
Âmes libres et vagabondes
Contaminons la Terre entière
Au crépuscule de l'empire, vanité des temps anciens
Ils nous ont laissé partir, pour eux nous n'étions rien
Que de pauvres gens, sans armes et sans argent
Qui ne rentreraient pas trop tard pour le souper du soir
Mais depuis le temps s'étire et nous vivons heureux
Sur la colline des sourires et les voilà envieux
Ils voudraient nous arracher à nos petits matins
Quand ils viendront nous chercher, nous serons déjà si loin
C'est le début de notre monde !
Le leur déjà n'est que poussière
Chaque minute, chaque seconde
Âmes libres et vagabondes
Contaminons la Terre entière
Ils voudraient nous arracher à nos petits matins
Quand ils viendront nous chercher, nous serons déjà si loin
C'est le début de notre monde !
Le leur déjà n'est que poussière
Chaque minute, chaque seconde
Âmes libres et vagabondes
Contaminons la Terre entière
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