Paroles de la chanson Ashitaka par Hotel Paradisio
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Paroles de la chanson Ashitaka par Hotel Paradisio
Je vois des fois dans leur futur un goût de passé
Quand vient la nuit, je vide le verre, le monde est parfait
Dans les nuages, car vu d'ici la pluie va tomber
Et quand tu cherches le coup de foudre tu finis tasé
Ils font du bruit et parlent beaucoup mais manquent de courage
Prends pas la conf', rien n'est acquis, même pas le pouvoir
La vie va vite : un jour, t'es jeune, demain, t'es cougar
J'suis dans ma bulle, je fais le sourd même quand le coup part
Et j'roule ma bosse, j'préfère rouler sur les tiennes
Quand vient la nuit, je vide le verre, le monde est parfait
Dans les nuages, car vu d'ici la pluie va tomber
Et quand tu cherches le coup de foudre tu finis tasé
Ils font du bruit et parlent beaucoup mais manquent de courage
Prends pas la conf', rien n'est acquis, même pas le pouvoir
La vie va vite : un jour, t'es jeune, demain, t'es cougar
J'suis dans ma bulle, je fais le sourd même quand le coup part
Et j'roule ma bosse, j'préfère rouler sur les tiennes
Ça roule un cône autorouté vers le ciel
On veut la somme, on veut qu'les billets nous aiment
Que la daronne possède villa devant la mer bleue
Oui, j'fais le dur mais j'ai une peur bleue
Oui, j'avoue, j'ai peur d'eux
Me retrouver sans personne
Avoir à faire des adieux
Jamais sans mes Pablos
Jamais dans le panneau
Si tu touches ma famille, faudrait qu'j'appelle le baveux
Tu veux qu'je change mais, moi, j'reste le même
Faut du contrepoids quand on repèse les peines
Ça me berce le soir, j'entends le cris des hyènes
Pour la p'tite histoire, on vide ces verres de ciel
On veut la somme, on veut qu'les billets nous aiment
Que la daronne possède villa devant la mer bleue
Oui, j'fais le dur mais j'ai une peur bleue
Oui, j'avoue, j'ai peur d'eux
Me retrouver sans personne
Avoir à faire des adieux
Jamais sans mes Pablos
Jamais dans le panneau
Si tu touches ma famille, faudrait qu'j'appelle le baveux
Tu veux qu'je change mais, moi, j'reste le même
Faut du contrepoids quand on repèse les peines
Ça me berce le soir, j'entends le cris des hyènes
Pour la p'tite histoire, on vide ces verres de ciel
Tu veux qu'je change mais, moi, j'reste le même
Faut du contrepoids quand on repèse les peines
Ça me berce le soir, j'entends le cris des hyènes
Pour la p'tite histoire, on vide ces verres de ciel
La vie est douce, la vie est cruelle
Cette fille me blesse, enterre mon cœur avec une truelle
J'épouse ses courbes avec mes prunelles
Je n'veux pas voir la lumière blanche au fond du tunnel
J'aime pas la réalité, j'regarde des dessins animés
Le sens est terrain miné, mais je suis déterminé
La tristesse contamine
Faut du contrepoids quand on repèse les peines
Ça me berce le soir, j'entends le cris des hyènes
Pour la p'tite histoire, on vide ces verres de ciel
La vie est douce, la vie est cruelle
Cette fille me blesse, enterre mon cœur avec une truelle
J'épouse ses courbes avec mes prunelles
Je n'veux pas voir la lumière blanche au fond du tunnel
J'aime pas la réalité, j'regarde des dessins animés
Le sens est terrain miné, mais je suis déterminé
La tristesse contamine
Chevaux sous kétamine
Donne-moi ta bouche, donne-moi un oui, donne-moi ta vitamine
Les blessures restent comme du Velleda
Elle me regarde comme un Beretta
Bonhomme de chemin surveille les pas
Les voies de Dieu sont impénétrables
Montrer les crocs comme les canidés
Tous mes défauts sont des qualités
La fumée danse dans les cavités
Tu prends même un pour ton karité
Des fois, j'réfléchis bien trop, j'me prends d'la tête
Faudrait qu'je sois d'la coco pour rentrer dans ta tête
Faudrait qu'on prenne la moto, qu'on fasse la fête
Faudrait qu'tu prennes des photos au lieu d'te prendre en self'
Donne-moi ta bouche, donne-moi un oui, donne-moi ta vitamine
Les blessures restent comme du Velleda
Elle me regarde comme un Beretta
Bonhomme de chemin surveille les pas
Les voies de Dieu sont impénétrables
Montrer les crocs comme les canidés
Tous mes défauts sont des qualités
La fumée danse dans les cavités
Tu prends même un pour ton karité
Des fois, j'réfléchis bien trop, j'me prends d'la tête
Faudrait qu'je sois d'la coco pour rentrer dans ta tête
Faudrait qu'on prenne la moto, qu'on fasse la fête
Faudrait qu'tu prennes des photos au lieu d'te prendre en self'
Tu veux qu'je change mais, moi, j'reste le même
Faut du contrepoids quand on repèse les peines
Ça me berce le soir, j'entends le cris des hyènes
Pour la p'tite histoire, on vide ces verres de ciel
Tu veux qu'je change mais, moi, j'reste le même
Faut du contrepoids quand on repèse les peines
Ça me berce le soir, j'entends le cris des hyènes
Pour la p'tite histoire, on vide ces verres de ciel
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